El Telón de azucar (2005) Camila Guzmán Urzúa

Le Rideau de sucre

Pays de productionChili ; Cuba ; France
Sortie en France10 octobre 2007
Procédé image35 mm - Couleur
Durée80 mn
DistributeurEpicentre Films (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurCamila Guzmán Urzúa
ScénaristeCamila Guzmán Urzúa
Société de production Epicentre Films (Paris)
Société de production Paraiso Production Diffusion (Paris)
ProducteurNathalie Trafford
Distributeur d'origine Epicentre Films (Paris)
Directeur de la photographieCamila Guzmán Urzúa
Ingénieur du sonClaudia Soto Mansilla
MixeurJean-Jacques Quinet
Compositeur de la musique originaleOmar Sosa
MonteurClaudio Martinez

générique artistique

Abuela Amalia
Paloma Urzúa Theoduloz
Margarita Echazábal Acosta
Juan Carlos Torrente Rodríguez
Shura López Morán
Loraine Jiménez Carralero
Vanito Brown
José Luis Medina
Boris Larramendi
Alejandro Gutiérrez
Carlos Fernández Gómez
Sonia Morán Avila
Shalex Rodríguez López
Sinei López Morán
Anerick Fernández Karell
Tito Caballero Serrano
Daniela Bello Jiménez
Suchil Jiménez Carralero

Bibliographie

Synopsis

Camila Guzmán Urzúa est la fille de Patricio Guzmán, le grand réalisateur chilien, dont elle a été l’assistante réalisatrice (Le Cas Pinochet). L’histoire qu’elle nous raconte, celle des jeunes "Pionniers" cubains, est aussi la sienne. Née au Chili quelques mois avant le coup d’État de Pinochet, elle est arrivée à Cuba à l’âge de 2 ans, puis y a vécu dans des conditions modestes, fréquentant une école ordinaire. Elle y a été élevée dans les "idéaux révolutionnaires". Les Pionniers étaient "les bâtisseurs de l’avenir". Ils allaient faire advenir "l’homme nouveau", conforme à l’idéal du Che. Dans le film, elle nous montre les jeunes Pionniers dans leur école, dans les camps de vacances, toujours en train de chanter des chants révolutionnaires, de réciter des hymnes à la gloire du Che, de Fidel, de la Révolution. Certes, leur vie quotidienne était austère, mais il y régnait une profonde solidarité. Leurs besoins étaient satisfaits : il était normal pour eux que l’école et la médecine soient gratuites. Mais la réalisatrice rappelle aussi qu’ils ont été informés de la chute du mur de Berlin par un encadré en bas de page dans Granma (l’équivalent cubain de la Pravda soviétique) : "L’Allemagne démocratique ouvre ses frontières". La suite des événements allait réserver de bien amères surprises aux Cubains...
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