Ostrov (2006) Pavel Lounguine

L'Ile

Pays de productionRussie
Sortie en France09 janvier 2008
Procédé image35 mm - Couleur
Durée112 mn
DistributeurRezo Films (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurPavel Lounguine
Assistant réalisateurNatalia Lyachtchenko
ScénaristeDmitri Sobolev
Société de production Rezo Films (Paris)
ProducteurSergueï Choumakov
ProducteurPavel Lounguine
Producteur exécutifOlga Vassilieva
Directeur de productionVadim Koriouzlov
Distributeur d'origine Rezo Films (Paris)
Directeur de la photographieAndreï Jegalov
CadreurYuri Nikolayev
Ingénieur du sonStefan Albine
Ingénieur du sonVladimir Litrovnik
DécorateurIgor Kotsarev
DécorateurAleksandr Tolkatchov
CostumierEkaterina Dyminskaya
MaquilleurValeria Nikoulina
MonteurAlbina Antipenko
Directeur de castingTatiana Marsakova

générique artistique

Piotr Mamonov(Anatoli)
Victor Soukhoroukov(Philarète)
Dmitri Dioujev(Job)
Iouri Kouznetsov(Tikhon)
Viktoria Issakova(Nastia)
Nina Oussatova(la veuve)
Iana Esipovitch(une fille)
Olga Demidova(la femme à l'enfant)
Alexeï Zelenski(Tikhon jeune)
Gricha Stepounov(Anatoli jeune)
Sergeï Bourounov(l'adjoint)

Bibliographie

Synopsis

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un jeune matelot russe terrorisé est capturé par les Allemands. Malgré lui, il accepte, pour survivre, d’abattre son capitaine. Des années plus tard, une foule se presse devant la mansarde du Père Anatoli (qui est l’ancien matelot), dont le monastère se situe sur une île. Ce dernier fait face à une jeune femme et devine étrangement sa requête, avant de réussir à la dissuader d’avorter. Il parvient aussi à guérir un enfant atteint d’une gangrène, qu’il avait dû forcer - ainsi que sa mère - à rester une nuit de plus avant de pouvoir quitter l’île. Anatoli subit les attaques d’un Père étonné de son austérité. Mais Anatoli peut compter sur l’admiration du Père Supérieur. Par miracle, il réussit à prévoir l’incendie de la demeure du Père Supérieur, et se retrouve confronté à devoir partager son très humble logis avec celui-ci. Pendant la nuit, Anatoli met le feu aux bottes luxueuses et à l’édredon confortable du Père. Surpris au début, ce dernier le remercie et admet que son attachement aux conforts terrestres est encore trop grand. Anatoli reçoit alors la visite d'une jeune femme, devenue folle depuis la mort de son mari. Il la guérit par la prière, et s’aperçoit que son père n’était autre que son ancien capitaine : il avait survécu à la balle et finalement pardonné au matelot son acte désespéré. Anatoli est alors enfin prêt pour accueillir la mort : il s’installe, de lui-même, dans son cercueil.
© LES FICHES DU CINEMA 2008
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