L'Occitanienne (2005) Jean Périssé

Pays de productionFrance
Sortie en France19 mars 2008
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
DistributeurArtédis (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurJean Périssé
Assistant réalisateurAlain Doussière
ScénaristeJean Périssé
Auteur de l'oeuvre originaleAlain Paraillous
Société de production ClairSud Productions
Société de production Panocéanic Films (Paris)
Distributeur d'origine Artedis (Paris)
Directeur de la photographieJean-Francis Gondre
Ingénieur du sonStéphane Roché
Ingénieur du sonLéo Cormenier
MixeurJean-Marc Dussardier
Compositeur de la musique préexistanteFranz Schubert
Compositeur de la musique préexistanteArnold Schönberg
Compositeur de la musique préexistanteLeos Janacek
DécorateurThierry Battaglia
MonteurAlain Doussière
RégisseurNathalie Aubaret
Photographe de plateauValérie Teppe

générique artistique

Bernard Le Coq(René de Chateaubriand)
Valentine Teisseire(Léontine de Villeneuve)
Roger Souza(le maître d'hôtel)
Patricia Karim(la tante)
Philippe Vendan-Borin(le postillon)
Bernard Faure(l'oncle)
Norbert Estèbes(le palefrenier)
Léo Cormenier(un soupirant)
Michel Delsol(le comte de Castelbajac)
Sébastien Turboust(un serveur)
Frédéric Aramon(un porteur)
Alain Naves(un porteur)

Bibliographie

Synopsis

Cauterets, 1829, par une nuit d’orage. Chateaubriand est en villégiature dans le Grand Hôtel. Il écrit, mais est interrompu par le maître d’hôtel qui, méconnaissant l’identité prestigieuse de son client, lui parle de son goût pour la poésie. Fait alors irruption Léontine de Villeneuve, belle jeune femme toulousaine qui entretient depuis deux ans une correspondance amoureuse avec Chateaubriand. Apprenant le passage du vieux poète à Cauterets, sous prétexte d’aller en cure "prendre les eaux", elle le rejoint, chaperonnée par sa vieille tante. Léontine lui offre son amour et lui propose de fuir à l’instant en sa compagnie. Sous l’oeil bienveillant du maître d’hôtel, ils rejoignent la chambre. Pendant toute la nuit, elle tente de convaincre Chateaubriand, hésitant, d’accepter son amour. Ce dernier lui objecte leur différence d’âge trop importante, le sacrifice inévitable de sa jeunesse et l’amour malheureux que porte le beau monsieur de Castelbajac à Léontine. La promesse d’un enfant fait un moment vaciller la position du vieil homme qui, finalement, résiste. Au petit matin, Chateaubriand et Léontine, l’Occitanienne, quittent la chambre et se séparent sous le regard du maître d’hôtel. En assistant à la scène, ce dernier se remémore ses propres amours et ses propres regrets de jeunesse. Plus tard, dans ses «Mémoires», Chateaubriand ne consacrera que quinze lignes lacunaires à cet épisode.
© LES FICHES DU CINEMA 2008
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