Jitsuroku rengô sekigun : Asama sansô e no michi (2007) Kôji Wakamatsu

United Red Army

Pays de productionJapon
Sortie en France06 mai 2009
Procédé image35 mm - Couleur
Durée190 mn
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Générique technique

RéalisateurKôji Wakamatsu
ScénaristeKôji Wakamatsu
ScénaristeMasayuki Kakegawa
Société de production Wakamatsu Production
ProducteurKôji Wakamatsu
ProducteurAsako Ôtomo
CoproducteurAsako Ôtomo
CoproducteurNoriko Ozaki
Producteur déléguéKôji Wakamatsu
Producteur déléguéNoriko Ozaki
Producteur exécutifAsako Ôtomo
Distributeur d'origine Blaq Out (Paris)
Directeur de la photographieTomohiko Tsuji
Ingénieur du sonYukio Kubota
Compositeur de la musique originaleJim O'Rourke
DécorateurGen Itô
MonteurKôji Wakamatsu

générique artistique

Maki Sakai(Mieko Toyama)
Arata(Hiroshi Sakaguchi)
Akie Namiki(Hiroko Nagata)
Gô Jibiki(Tsuneo Mori)
Anri Ban(Fusako Shigenobu)
Maria Abe
Kenji Date
Yoshio Harada
Len Hisa
Megumi Ichinose
Keigo Kasuya
Junpei Kawa
Etsuko Kizen
Chie Kôzu
Genji Kuroi
Sentaro Kusakabe
Makoto Miyahara
Akiko Monou
Hideo Nakaizumi
Nao Okabe
Erika Okuda
Kaoru Okunuki
Nobumitsu Onishi
Shima Ônishi
Taku Sakaguchi
Yûgo Sasô
Yasuko Tajima
Hassei Takano
Nobuya Tamaichi
Soran Tamoto
Kazuki Tsujimoto
Takaki Uda
Naoki Yamamoto

Bibliographie

Synopsis

Au début des années 1970, au Japon, la majeure partie des chefs d’extrême gauche est arrêtée et emprisonnée. À cause de ces purges, le couple Tsuneo Mori et Hiroko Nagata a la charge de l’Armée Rouge Unifiée, la branche armée de l’extrême gauche japonaise. Afin de préparer ses troupes pour la révolution imminente, Nagata les emmène dans une ferme isolée pour qu’elles se préparent physiquement, mais l’entraînement est aussi idéologique : Nagata met plusieurs personnes au défi de l’autoconfession. Progressivement, cet exercice devient presque masochiste. Une jeune femme appelée à faire son autocritique par Mori, qui lui reproche ses manières et son trop grand succès auprès des hommes, ne sait plus quoi dire. Elle subit alors les attaques et humiliations des autres, jusqu’à la dégradation et la mort. Les séances de confession se transforment ainsi systématiquement en pratiques sadiques aboutissant, en bien des cas, à la mort. Sous le coup de la peur, personne n’ose protester. Les policiers trouvent finalement leur repère, et l’Armée Rouge doit fuir. Quelques membres trouvent alors refuge dans une auberge. Ils tiennent la maîtresse des lieux en otage alors que les policiers et les caméras de télévision encerclent la maison. Pendant l’offensive finale, ils admettent leur propre lâcheté lors des purges. Les policiers arrêtent tout le monde. En prison, Nagata reconnaît la folie et la violence de ses actions.
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