The Lost door (2007) Roy Stuart

Pays de productionFrance
Sortie en France04 décembre 2008
Procédé image35 mm - Couleur
Durée105 mn
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Générique technique

RéalisateurRoy Stuart
Assistant réalisateurLaurent Halimi
ScénaristeRoy Stuart
Auteur de l'oeuvre originaleJoseph Hamiltond'après une idée originale
Auteur de l'oeuvre originaleRoy Stuartd'après une idée originale
AdaptateurJoseph Hamilton
AdaptateurRoy Stuart
AdaptateurRémi Bohrt
AdaptateurLazlo Hamlin
AdaptateurFrançois Bokonon
AdaptateurAlain Deloffre
DialoguisteJoseph Hamilton
DialoguisteRoy Stuart
DialoguisteRémi Bohrt
DialoguisteLazlo Hamlin
DialoguisteFrançois Bokonon
DialoguisteAlain Deloffre
Société de production Dame du Lac Films (Paris)
ProducteurRoy Stuart
Producteur associéGérard Carreyn
Producteur exécutifSteffano Casatto
Distributeur d'origine Dame du Lac Films (Paris)
Directeur de la photographieRoy Stuart
Ingénieur du sonJoe Ford
Ingénieur du sonDaniel Bourdon
Compositeur de la musique originaleRoy Stuart
Compositeur de la musique originaleGary Lucas
Compositeur de la musique originaleNelson Villamor
Compositeur de la musique originaleBirgit Yew
DécorateurYu Zhao
CostumierRenata Baudell
MaquilleurRikka Maasilta
MaquilleurHélène Berton
CoiffeurCyril Laux
MonteurRoy Stuart
ScriptElisa Chao
Directeur de castingHua Ling

générique artistique

Mikaela Fisher(Kristina)
Anna Bielska(Catherine)
Pierre Heitz(Marc)
Nicole Auberger(Nicole)
Richard Clement(Alex)
Rémi Martin(le juge)
Lena Strasse(la soeur)
Isabel De Francesco(Maya)
Laurent Halimi(le docteur Rosenthal)
Birgit Yew(la mère)
Aviva Manya(la chanteuse)
KaoRi(la danseuse)
Yannick Bahin(le chef infirmier)
Tatiana Drewry(l'infirmière)
Christophe Auger(l'infirmier)
Marie Février
Yu Zhao

Bibliographie

Synopsis

Accusée d’homicide volontaire sur Marc Peretti, Christina est internée en hôpital psychiatrique. Catherine, jeune experte psychiatre, est chargée par le juge de réexaminer son cas. Elle veut que Christina lui dise la vérité pour plaider une moindre responsabilité. Au cours des entretiens, Christina, peu coopérative, revit, au fil des questions, son histoire, réelle ou fantasmée. Elle affirme être victime de viols à l’hôpital, accuse «les sorciers» de vouloir sa perte et Catherine d’être leur complice. Elle revoit son passé : sa mère musicienne sadique qui l’obligeait à punir sa soeur, Eva, avec perversité. Plus tard, directrice d’un étrange cours de danse, qui servait de réserve de jolies filles pour des parties fines auxquelles le juge prenait part, elle était tombée folle amoureuse de la pulpeuse Nicole. Mais celle-ci vivait avec le banal Alex, peu ouvert aux expériences sexuelles nouvelles. Christina avait passé un accord avec Marc, un cynique lanceur de couteaux, qui devait éloigner Alex de Nicole. Occupé de son seul plaisir, Marc avait séduit Nicole. Au cours d’une soirée à laquelle participaient le juge et ses «danseuses», Christina avait compris la trahison. Elle était allée, revolver en main, exiger une explication. Marc avait brandi sa propre arme et Christina avait tiré. À l’issue des entretiens, Catherine ne réussira pas à sauver Christina mais acceptera son propre saphisme, avec Eva.
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