Cea mai fericita fata din lume (2008) Radu Jude

La Fille la plus heureuse du monde

Pays de productionRoumanie
Sortie en France16 décembre 2009
Procédé image35 mm - Couleur
Durée100 mn
DistributeurPyramide (source : ADRC)
>> Rechercher "Cea mai fericita fata din lume" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurRadu Jude
Assistant réalisateurCristina Iliescu
ScénaristeAugustina Stanciu
ScénaristeRadu Jude
Société de production HiFilm Production (Bucarest)
Coproduction Circe Films (Amsterdam)
ProducteurAda Solomon
CoproducteurStienette Bosklopper
Producteur associéDragos Vilcu
Producteur exécutifValentino Rudolf
Directeur de productionAdrian Pavelescu
Distributeur d'origine Pyramide Distribution (Paris)
Directeur de la photographieMarius Panduru
Ingénieur du sonTiti Fleancu
DécorateurAugustina Stanciu
CostumierAugustina Stanciu
MaquilleurDana Roseanu
MonteurCatalin Cristutiu

générique artistique

Andreea Bosneag(Delia Fratila)
Vasile Muraru(Monsieur Fratila)
Violeta Haret(Madame Fratila)
Serban Pavlu(le réalisateur)
Andi Vasluianu(l'opérateur)
Doru Catanescu(Arvunescu)
Alexandru Georgescu(le client)
Luminita Stoianovici(la maquilleuse)
Bogdan Marhodin(Viorel)
Diana Gheorghian(la productrice)

Bibliographie

Synopsis

Venant de leur province, Delia et ses parents roulent vers Bucarest. Ils s’arrêtent en chemin pour mieux s’habiller et arrivent Place de l’Université. Grâce au jeu-concours d’une populaire marque de jus d’orange, Delia a gagné une voiture. Pour l’obtenir, elle doit tourner un spot publicitaire pour la marque. Bien qu’elle n’ait pas encore son permis, Delia souhaite garder la voiture et aller au bord de la mer avec ses amies. Mais ses parents ont d’autres projets : ils veulent vendre tout de suite la voiture (avant qu’elle ne se dévalue) pour monter un gîte rural dont ils espèrent une belle rentabilité... Son père a déjà un acheteur. Au fil de cette chaude journée, Delia, maussade, enchaîne les prises, souvent ratées : elle a du mal à paraître la fille la plus heureuse du monde. L’équipe technique et les représentants de la marque s’impatientent, la lumière faiblit, et Delia doit, à chaque fois, ingurgiter des litres d’un jus d’orange médiocre. Entre les prises, sa mère, puis son père, tentent de la convaincre de signer la décharge qui leur permettra de vendre la voiture à leur profit. Sa mère use d’arguments d’abord sentimentaux, puis mesquins. Son père la menace de ne plus jamais la revoir. Tandis que le réalisateur et les techniciens jonglent avec les divers impératifs techniques, Delia résiste à ses parents. À la fin de la journée de tournage, de guerre lasse, elle signe la décharge et renonce pour le moment à ses rêves.
© LES FICHES DU CINEMA 2009
Logo

Exploitation