Une exécution ordinaire (2009) Marc Dugain

Pays de productionFrance
Sortie en France03 février 2010
Procédé image35 mm - Couleur
Durée105 mn
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Générique technique

RéalisateurMarc Dugain
Assistant réalisateurPatrick Armisen
ScénaristeMarc Dugain
Auteur de l'oeuvre originaleMarc Dugaind'après le roman "Une exécution ordinaire"
AdaptateurMarc Dugain
DialoguisteMarc Dugain
Coproduction F comme Film (Paris)
Coproduction StudioCanal
Coproduction France 3 Cinéma
Producteur exécutifJulie Salvador
Directeur de productionChristophe Jeauffroy
Distributeur d'origine StudioCanal Distribution
Directeur de la photographieYves Angelo
DécorateurYves Fournier
CostumierJackie Budin
MonteurFabrice Rouaud
ScriptLydia Bigard
Conseiller artistiqueYves Angelo
Conseiller techniqueYves Angelo
Photographe de plateauArnaud Borrel

générique artistique

André Dussollier(Staline)
Marina Hands(Anna)
Edouard Baer(Vassili)
Denis Podalydès(le concierge)
Tom Novembre(le directeur de l'hôpital)
Grégory Gadebois(le chef de service)
Gilles Gaston-Dreyfus(Beria)
Anne Benoît(Alexandra)
Gilles Ségal(Oncle Anton)

Bibliographie

Synopsis

Moscou, fin 1952. Anna est médecin dans un hôpital, en butte à l’insistance libidineuse de son chef de service et à l’hostilité de collègues qui jalousent sa popularité auprès des malades qu’elle soulage par des passes magnétiques. Elle vit avec Vassili, physicien atomiste dépressif depuis que ses parents ont été déportés et tués, avec qui elle souhaite ardemment avoir un enfant. Les menaces se précisent : le chef de service éconduit l’a dénoncée, son directeur ne peut plus la soutenir. Deux hommes viennent l’arrêter. À sa grande surprise, elle se retrouve au Kremlin. Staline connaît les dons d’Anna. Or, depuis qu’il a fait déporter son médecin, accusé comme tant d’autres - Juifs pour la plupart - de complot, plus personne n’arrive à soulager ses terribles douleurs. Anna, elle, parvient à les apaiser : elle devra dès lors venir la nuit, chaque fois qu’il le voudra. Staline lui ordonne d’éloigner Vassili : lui faisant croire qu’elle a un amant, elle le congédie. Ce n’est pas suffisant : Staline le fait arrêter, torturer, informant sadiquement çà et là Anna sur sa "santé", avant de l’expédier sur un dangereux chantier secret d’essais nucléaires. Une nuit, à la fin de l’hiver, Anna découvre sur le bureau d’un Staline au plus mal une lettre qui la condamne, et la fait disparaître. Le dictateur s’effondre : sans donner l’alerte, Anna quitte le Kremlin. Plus tard, Vassili retrouve leur domicile. Elle commence à tout lui expliquer...
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