Louise Michel, la rebelle (2008) Solveig Anspach

Pays de productionFrance
Sortie en France07 avril 2010
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
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Générique technique

RéalisateurSolveig Anspach
ScénaristeJean-Luc Gaget
ScénaristeSolveig Anspach
Auteur de l'oeuvre originaleJacques Kirsnerd'après un scénario original
Auteur de l'oeuvre originaleMichel Ragond'après un scénario original
Société de production Jem Productions (Paris)
Distributeur d'origine Hevadis Films (Rouen)
Directeur de la photographieIsabelle Razavet
Ingénieur du sonÉric Boisteau
Compositeur de la musique originaleMartin Wheeler
DécorateurJimmy Vansteenkiste
CostumierEdith Vespérini
MonteurMathilde Grosjean

générique artistique

Sylvie Testud(Louise Michel)
Nathalie Boutefeu
Bernard Blancan
Alexandre Steiger
Augustin Watreng
Eric Sauvion-Caruso

Bibliographie

Synopsis

Fin 1873, Louise Michel débarque en Nouvelle-Calédonie avec quelques autres Communards, dont le polémiste Rochefort et Nathalie Lemel, son amie. Refusant que les femmes bénéficient d’un régime de faveur, elle vit parmi les autres hommes déportés. Elle entretient une correspondance avec Victor Hugo et Georges Clémenceau qui, à Paris, plaident sans relâche pour l’amnistie des Communards. Elle entre en contact avec les autochtones kanaks et se lie d’amitié avec l’écrivain anarchiste Charles Malato, qui circule librement. Le 28 de chaque mois, elle écrit au président du Conseil pour l’insulter, en mémoire de Théophile Ferré, son compagnon fusillé le 28 novembre 1871. Un jour, le camp est en effervescence : Rochefort s’est échappé. Les conditions de détention se durcissent. Les femmes vivent désormais séparées des hommes, dans un camp voisin. Louise écrit des poèmes, compose des chants et poursuit ses correspondances. Malato lui apprend que, à Paris, Rochefort fait d’elle une grande figure révolutionnaire. Nathalie tombe malade. Louise écrit à Clémenceau pour qu’il obtienne la grâce de son amie. En 1878, les Kanaks se révoltent. Louise, qui tente de les instruire, prend fait et cause pour eux. La révolte est écrasée dans le sang. L’année suivante, Louise obtient l’autorisation d’enseigner à Nouméa. En 1880, elle est amnistiée et regagne la France.
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