A l'aveugle (2011) Xavier Palud

Pays de productionFrance
Sortie en France07 mars 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée94 mn
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Générique technique

RéalisateurXavier Palud
Assistant réalisateurEric Pujol
ScénaristeEric Besnard
DialoguisteEric Besnard
Société de production EuropaCorp
Coproduction France 2 Cinéma
Directeur de productionCamille Courau
Distributeur d'origine EuropaCorp Distribution
Directeur de la photographieMichel Amathieu
Ingénieur du sonYves-Marie Omnes
Ingénieur du sonFrançois-Joseph Hors
Compositeur de la musique originaleLaurent Couson
DécorateurDan Bevan
MonteurJulien Rey
Directeur de castingSwan Pham

générique artistique

Jacques Gamblin(le commandant Lassalle)
Lambert Wilson(Marvik)
Raphaëlle Agogué(Héloïse)
Arnaud Cosson(Vermulen)
Antoine Levannier(Simon)
Frédéric Kontogom(Briand)
David Capelle(Marchand)
Marie Vincent(Rochambeau)
Nicolas Grandhomme(Cossiga)
Nathalie Vignes(la secrétaire de Rochambeau)
Pascal Demolon(Warnas)
Moïse Santamaria(Fred)
Nicolas Pignon(Kempf)
Elsa Kikoïne(Isabelle Royer)
Daniel Lobe(le garde du corps)
Miglen Mirtchev(Constantin)
François Lescurat(le commissaire priseur)
Arthur Moncla(Alexandre)
Yanis Lespert(Dominique)
Agnès Delachair(la prostituée)
Sébastien Vandenberghe(le videur)
Omar Salim(Hussein Haqqani)
Martine Bertrand(Soeur Marthe)
Hélène Roussel(Soeur Marguerite)
Colette Kraffe(Amélia)
Dorothée Brière(la femme de Lassalle)
Rémy Le Fur(Constantin, un assesseur)

Bibliographie

Synopsis

Paris. Une jeune femme, Isabelle Royer, est sauvagement assassinée. Le commandant Lassalle, dépressif et autodestructeur depuis la mort accidentelle de sa femme, est chargé de l’enquête avec son adjointe, Héloïse. Très vite, Lassalle remonte jusqu’à l’un des amants de Royer : Warnas, un artiste junkie. Puis Lassalle entend Narvik, un accordeur de piano aveugle, en tant que témoin. Lorsque Konstantin, magnat russe de l’ameublement, est tué dans l’explosion d’une voiture piégée, Lassalle est convaincu que les deux affaires sont liées, et que Narvik est le coupable. Mais il n’a aucune preuve... Lassalle découvre que Narvik est une identité "empruntée" à un militaire décédé. Sa supérieure, Rochambeau, lui révèle qu’il s’agit en réalité d’un ancien membre des forces spéciales, seul survivant de son unité (mais aveugle) après une attaque en Afghanistan deux ans plus tôt. Narvik tue un videur. Lassalle trouve le point commun entre les trois victimes : tous sont liés à Hussein Haqqani, un agent des services secrets pakistanais. Lassalle est alors piégé par Narvik, qui le fait accuser du meurtre de Warnas. Héloïse l’aide à s’échapper. Il retrouve Narvik à une conférence de Haqqani. Narvik exécute sa mission, mais Lassalle lui a insinué un doute. Il confronte son supérieur et, comprenant qu’on s’est servi de lui pour couvrir une vente d’armes qui a coûté la vie à des camarades, le tue. Puis il se joue une dernière fois de Lassalle, en le poussant à l’abattre.
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