Normal ! (2011) Merzak Allouache

Pays de productionAlgérie
Sortie en France07 mars 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée111 mn
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Générique technique

RéalisateurMerzak Allouache
ScénaristeMerzak Allouache
Société de production Baya Films
ProducteurYacine Djadi(Algérie)
ProducteurVéronique Zerdoun(France)
Distributeur d'origine Les Films des Deux Rives
Directeur de la photographieHocine Hadjali
Ingénieur du sonAli Mahfiche
MixeurJulien Perez
Compositeur de la musique originaleYahia Bouchaala
MonteurNadia Ben Rachid
MonteurLucile Sautarel

générique artistique

Adila Bendimerad(Amina)
Nouha Mathlouti(Lamia)
Nadjib Oulebsir(Fouzi)
Nabil Asli(Nabil)
Mina Lachter(Mina)
Samir El Hakim(Samir)
Ahmed Benaïssa(l'acteur)

Bibliographie

Synopsis

2011. Tandis que le Printemps arabe commence en Tunisie, Fouzi, un jeune cinéaste algérien, montre à ses acteurs un premier montage de son film, tourné en 2009 lors du Festival Panafricain. Alors qu’il veut retourner la fin pour l’actualiser, sa femme, Amina, trouve plus utile de manifester. Ils repèrent une terrasse, d’où ils pourront filmer une émeute. Les acteurs, dont le couple formé par Nabil et Mina, arrivent chez Fouzi. Amina leur montre le montage pour avoir leurs impressions. Dans le film, Rachid, interprété par Nabil, a écrit une pièce, Normal !, qu’une bureaucrate refuse d’aider, la jugeant trop subversive. Ses comédiens le lâchent pour travailler et sa petite amie, Lamia, pense repartir à Paris. Hafida, une réalisatrice jouée par Mina, est en colère contre son acteur, qui refuse d’embrasser sa partenaire, Lamia. Les comédiens sont mitigés face au film et Mina est furieuse que dans une scène, Nabil ait embrassé l’actrice parisienne qui joue Lamia. Dans le film, Lamia monte en voiture avec des inconnus et Rachid la recherche. Fouzi explique que le récit sur la censure a malheureusement dévié sur le meurtre de Lamia. Il veut tourner une scène où Rachid serait dans l’émeute, mais Nabil ne veut pas manifester. Les comédiens débattent de la nécessité de l’action par rapport à la parole. Amina reproche à Fouzi d’utiliser le film comme une excuse pour ne pas aller dans la rue. Face à la caméra, Fouzi confesse qu’il n’arrive pas à exprimer ses pensées.
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