Jiabiangou (2011) Bing Wang

Le Fossé

Pays de productionHong-Kong ; France ; Belgique
Sortie en France14 mars 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée112 mn
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Générique technique

RéalisateurBing Wang
ScénaristeBing Wang
Auteur de l'oeuvre originaleXianhui Yangd'après le livre "Goodbye, Jiabiangou"
Société de production Wil Productions (Hong-kong)
Société de production Les Films de L'Etranger (Strasbourg)
Coproduction Entre Chien et Loup (Bruxelles)
Producteur K. Lihong
ProducteurMao Hui
ProducteurBing Wang
ProducteurFrancisco Villa Lobos
CoproducteurSébastien Delloye
CoproducteurDiana Elbaum
Producteur associéFrancesca Feder
Producteur exécutif K. Lihong
Producteur exécutifMao Hui
Producteur exécutifBing Wang
Producteur exécutifPhilippe Avril
Producteur exécutifFrancisco Villa Lobos
Directeur de productionYang Wang
Directeur de productionWanxiong Zhang
Distributeur d'origine Capricci
CadreurSheng Lu
Ingénieur du sonLiang Ren
Ingénieur du sonPierre Gamet
Ingénieur du sonHélène Le Morvan
Ingénieur du sonEmmanuel Croset
MixeurMichel Schillings
Directeur artistiqueLige Bao
Directeur artistiqueHonghui Xiang
DécorateurFuli Zhang
CostumierFuzheng Wang
MonteurMarie-Hélène Dozo

générique artistique

Xiangnian Li
Ye Lu
Renjun Lian
Cenzi Xu

Bibliographie

Synopsis

1960. Dans le camp chinois de Mingshui, au beau milieu du désert de Gobi, de nouveaux détenus politiques sont acheminés. On les installe dans des abris creusés à même la terre. Ils sont contraints à des travaux de terrassement. Le directeur du camp, inquiet du manque de ravitaillement, décide de stopper provisoirement leur activité. Chacun devra désormais trouver lui-même de quoi subvenir à ses besoins. Les uns tentent d’arracher quelques graines au sol aride. D’autres troquent le peu de biens qu’ils possèdent contre de la nourriture. Un détenu capture un rat qu’il fait bouillir. Le soir, il est malade. Un codétenu mange ce qu’il vomit. Toutes les nuits, de nouveaux prisonniers meurent de dysenterie, de famine ou de froid. On les enterre sommairement dans le désert. Certains sont accusés de les dépecer pour se nourrir. La punition est sévère. Un jour, Gu, une jeune femme de Shanghai, arrive au camp. Elle cherche son mari, Lao Dong, mort huit jours plus tôt. Xiao Li, l’ami qui avait promis à Lao Dong de remettre son corps à sa femme, refuse de lui montrer sa tombe. La jeune femme va faire une réclamation au directeur du camp, qui s’offusque de son manque de patriotisme. Elle part, seule, à la recherche de la tombe, dont Xiao Li sait qu’elle a été profanée. Une nuit, Xiao Li s’évade avec un codétenu plus âgé qui ralentit sa fuite. Il est obligé de l’abandonner dans le désert.
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