A moi seule (2011) Frédéric Videau

Pays de productionFrance
Sortie en France04 avril 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée91 mn
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Générique technique

RéalisateurFrédéric Videau
Assistant réalisateurReno Epelboin
ScénaristeFrédéric Videau
Société de production Les Films Hatari (Paris)
Coproduction Le Studio Orlando (Paris)
ProducteurLaetitia Fèvre
CoproducteurPhilippe Grivel
Producteur associéMichel Klein
Directeur de productionRaoul Peruzzi
Distributeur d'origine Pyramide Distribution (Paris)
Directeur de la photographieMarc Tevanian
Ingénieur du sonFrançois Méreu
Ingénieur du sonEmmanuel Croset
Compositeur de la musique originaleFlorent Marchet
DécorateurCatherine Mananes
CostumierLaurence Struz
MaquilleurNadine Lacam
CoiffeurNadine Lacam
MonteurFrançois Quiquéré
ScriptSandrine Cayron
RégisseurNathalie Aubaret
Directeur de castingStéphane Batut

générique artistique

Agathe Bonitzer(Gaëlle Faroult)
Reda Kateb(Vincent Maillard)
Hélène Fillières(Anne Morellini)
Noémie Lvovsky(Sabine Faroult)
Jacques Bonnaffé(Yves Faroult)
Grégory Gadebois(Frank)
Marie Payen(Juliette)
Margot Couture(Gaëlle à 10 ans)
Makita Samba(Timothée)
Pascal Cervo(le médecin de garde)
Cyril Troley(Walter)
Arnaud Churin(le contrôleur)
Aurélia Hollart(une policière)
Thierry Bordes(un policier)
Marie-Pierre Neskovic(l'infirmière)
Olivier Abelé(le chauffeur du car)
Marine Noualhaguet(la folle du banc)
Maelt Arslan(l'ouvrier en serviette)
Yves-Robert Viala(le voisin de Sabine)
Philippe Labonne(le voyageur)

Bibliographie

Synopsis

Après huit ans de séquestration, Vincent, le ravisseur de Gaëlle, la libère subitement. Elle retrouve ses parents, qui se sont séparés, dévastés par ces années passées à se ronger d’angoisse au sujet de sa disparition. Dans un premier temps, Gaëlle est accueillie dans un hôpital, et suivie par Anne, une jeune psychiatre. Peu à peu, elle se remémore les années qu’elle a passées avec Vincent, du jour où il l’a enlevée (elle avait alors 10 ans), et où elle a compris qu’elle ne pourrait plus sortir, jusqu’au jour où, adolescente, elle s’est offerte à lui, seule manière pour elle de prendre en main une partie de son destin. Vincent l’a éduquée, nourrie, habillée pendant huit ans. Il l’a également enfermée et terrorisée. Gaëlle rend visite à sa mère, Sabine, en se cachant des journalistes. Celle-ci lui dit vouloir tuer son ravisseur, ce qui n’est pas le cas de Gaëlle. Le soir, Gaëlle veut sortir dans le parc, mais un infirmier l’en empêche. Elle fait part à Anne de son sentiment d’emprisonnement : celle-ci l’accompagne dans les bois dès la nuit suivante, comme le faisait parfois Vincent. Un ami d’enfance de Gaëlle vient la voir, mais il se sent mal à l’aise et part rapidement. Alors que Vincent vient de se suicider, Anne apporte à Gaëlle une cassette qu’il avait enregistrée à son intention, sur laquelle il lui dit ne pas pouvoir vivre sans elle. Le lendemain, Gaëlle s’enfuit de l’hôpital, et monte dans un train, direction Bordeaux. Sa nouvelle vie commence.
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