La Vida útil (2010) Federico Veiroj

Pays de productionUruguay ; Espagne
Sortie en France28 mars 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée67 mn
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Générique technique

RéalisateurFederico Veiroj
Assistant réalisateurManuel Nieto
ScénaristeInés Bortagaray
ScénaristeArauco Hernández
ScénaristeGonzalo Delgado
ScénaristeFederico Veiroj
DialoguisteInés Bortagaray
DialoguisteArauco Hernández
DialoguisteGonzalo Delgado
DialoguisteFederico Veiroj
Coproduction Mediapro (Madrid)
Coproduction Versátil Cinema (Barcelona)
ProducteurLaura Gutman
Producteur exécutifFederico Veiroj
Distributeur d'origine A3 Distribution
Directeur de la photographieArauco Hernández
Ingénieur du sonRaul Locatelli
Compositeur de la musique originaleLeo Masliah
Compositeur de la musique originale Macunaima
Compositeur de la musique originaleEduardo Fabini
DécorateurEmilia Carlevaro
CostumierEmilia Carlevaro
MonteurArauco Hernández
MonteurFederico Veiroj

générique artistique

Jorge Jellinek(Jorge)
Manuel Martínez Carril(Martínez)
Paola Venditto(Paola)

Bibliographie

Synopsis

Jorge travaille à la cinémathèque de Montevideo depuis 25 ans. Il s’y occupe de logistique, et y gère les problèmes techniques que rencontrent ses collègues. Il anime aussi une émission de radio avec un ami, Martínez, dans laquelle ils défendent "le vrai cinéma" et font la promotion des cycles que la cinémathèque programme. Comme l’on y projette Les Rapaces de Von Stroheim, Martínez lit un texte sur la vérité signé par Frank Norris, l’auteur du roman dont est adapté le film. La cinémathèque invite ensuite un jeune cinéaste uruguayen, qui projette son premier long métrage. Jorge est choisi pour introduire le film. Lorsqu’il ne travaille pas à la cinémathèque, il va voir des films en salles et lit des critiques chez ses parents, chez qui il habite encore. Amoureux de Paola, professeur d’université, il l’invite régulièrement à aller au cinéma. Mais celle-ci a fort à faire et, à chaque proposition de Jorge, se défile. Jorge apprend alors que la fondation qui soutenait financièrement la cinémathèque se désengage. L’établissement doit fermer. Jorge, ne sachant que faire, traîne autour de l’université de droit où travaille Paola. Suite à un quiproquo, Jorge se retrouve au poste d’un professeur absent. Il improvise alors un cours de philosophie, en paraphrasant un discours de Mark Twain sur la décadence de l’art de mentir. À la fin de la journée, il recroise Paola et lui propose, une fois encore, d’aller au cinéma. Charmée par tant d’insistance, elle accepte l’invitation.
© LES FICHES DU CINEMA 2012
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