Shah-re ziba (2004) Asghar Farhadi

Les Enfants de Belle Ville

Pays de productionIran
Sortie en France11 juillet 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée101 mn
>> Rechercher "Shah-re ziba" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurAsghar Farhadi
ScénaristeAsghar Farhadi
ProducteurIraj Taghipoor
Producteur exécutifBahram Jalali
Distributeur d'origine Memento Distribution (Paris)
Directeur de la photographieAli Loghmani
Ingénieur du sonHassan Zahedi
Compositeur de la musique originaleHamid Reza Sadri
DécorateurKeyvan Moghaddam
CostumierKeyvan Moghaddam
MonteurShahrzad Pooya

générique artistique

Taraneh Alidoosti(Firouzeh)
Babak Ansari(A'la)
Faramarz Gharibian(Rahmati Abolghassem)
Ahu Kheradmand(Madam Abolghassem)
Farhad Ghaiemian(Ghafouri)
Hooshang Heyhavand(le propriétaire du kiosque)
Hossein Farzi-Zadeh(Akbar)

Bibliographie

Synopsis

Condamné pour le meurtre de la jeune fille qu’il aimait, Akbar fête ses 18 ans en prison et devient ainsi passible de la peine de mort. Il quitte le centre de détention pour mineurs. Ghafouri, le directeur du centre, essayait en vain depuis deux ans d’obtenir pour lui le pardon du père de la victime : le docteur Abolghasem. Ghafouri libère A’la, un ami de Akbar, pour qu’il tente d’arracher son pardon à Abolghasem, avec Firouzeh, la soeur d’Akbar. A’la se rend chez elle. Jeune mère d’un petit garçon, buandière à l’hôpital et nantie d’un mari âgé, drogué et dealer, elle a renoncé à plaider le pardon pour son frère, car Abolghasem l’a souvent malmenée. Avec A’la, elle trouve la force de recommencer. Mais Abolghasem se montre intraitable. Veuf, il a épousé, pour tenir son ménage, une femme, mère d’une jeune fille handicapée. Elle non plus n’a pu le convaincre de pardonner. Au contraire, Abolghasem exige une exécution rapide. Mais il doit pour cela payer une forte somme, le prix du sang, dont il n’a pas le premier toman. Il refuse aussi d’entendre les arguments de l’imam de sa mosquée. Il est prêt à vendre sa pauvre maison. Sa femme et sa belle-fille le quittent. Abolghasem cède et accepte de pardonner, contre le prix du sang de sa fille. Firouzeh n’a pas les moyens. Mme Abolghasem lui suggère, à titre de compensation, de convaincre A’la d’épouser sa fille. Mais au fil des jours, Firouzeh, en fait divorcée, et A’la sont tombés amoureux. Elle laisse douloureusement A’la s’éloigner.
© LES FICHES DU CINEMA 2012
Logo

Exploitation