Sharqiya (2011) Ami Livne

Sharqiya

Pays de productionIsraël ; France ; Allemagne
Sortie en France07 novembre 2012
Procédé image35 mm - Couleur
Durée82 mn
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Générique technique

RéalisateurAmi Livne
Assistant réalisateurNetanel Segal
ScénaristeGuy Ofran
DialoguisteGuy Ofran
Société de production Golden Cinema Productions
Société de production EZ Films (Paris)
Société de production Laila Films (Tel Aviv)
Coproduction Detailfilm (Hamburg ; Berlin)
ProducteurEyal Shiray
ProducteurElie Meirovitz
ProducteurItai Tamir
CoproducteurFabian Gasmia
CoproducteurHenning Kamm
Producteur déléguéTony Copti
Distributeur d'origine ASC Distribution (Paris)
Directeur de la photographieBoaz Yehonathan Ya'acov
Ingénieur du sonAlfred Tesler
Compositeur de la musique originaleZohar Sela
DécorateurSalim Shehade
CostumierShams Shalufi
MonteurZohar Sela
Directeur de castingEinat Fernbach

générique artistique

Adnan Abu Wadi(Kamel)
Maysa Abd Elhadi(Nadia)
Adnan Abu Muhareb(Khaled)

Bibliographie

Synopsis

Kamel est bédouin. Chaque matin il prend le bus qui le mène à son travail d’agent de sécurité à la gare routière de Be’er Sheva, en Israël, où, quoiqu’un peu isolé, il se sait apprécié par son chef. Chaque soir, il retourne sur la terre de ses ancêtres, dans les baraquements délabrés qu’il partage avec son frère, Khaled, et Nadia, l’épouse de ce dernier. Les deux frères entretiennent des rapports tendus, et le fait que Kamel travaille pour des Israéliens n’aide guère au rapprochement. Un soir, en rentrant chez lui, il apprend qu’a été ordonnée la démolition du village, dont l’installation n’est pas réglementaire. Khaled entre alors en résistance, alors que Kamel continue à se rendre à son travail. Un jour qu’il va avec le tracteur remplir la citerne au point d’eau, tracteur et citerne sont volés. Face à l’accumulation des injustices, Kamel décide d’agir. Il déterre une mine enfouie dans un champ qui jouxte ses terres, la dissimule dans un sac à dos qu’il abandonne sous un banc de la gare où il est employé, puis signale le colis comme suspect. Une fois la mine neutralisée, Kamel est interviewé en sauveur par la télé israélienne. Il profite de cette tribune pour parler de leur expropriation prochaine mais constate le soir que son intervention a été censurée. Un matin, un bulldozer détruit le village sous le regard consterné des deux frères et de Nadia. Aidés de leurs voisins bédouins, ils reconstruisent aussitôt les baraquements. Puis Kamel s’en retourne à son travail.
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