Le Grand retournement (2012) Gérard Mordillat

Pays de productionFrance
Sortie en France23 janvier 2013
Procédé image35 mm - Couleur
Durée77 mn
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Générique technique

RéalisateurGérard Mordillat
Assistant réalisateurFrançois Vantrou
ScénaristeGérard Mordillat
Auteur de l'oeuvre originaleFrédéric Lordond'après la pièce 'D'un retournement l'autre, comédie sérieuse sur la crise financière"
DialoguisteGérard Mordillat
Société de production Stephan Films (Paris)
Producteur déléguéVéra Belmont
Directeur de productionLinda Gutenberg
Distributeur d'origine Solaris Distribution (Paris)
Directeur de la photographieFrançois Catonné
CadreurAlexandre Léglise
Ingénieur du sonDominique Davy
Compositeur de la musique originaleElliott Covrigaru
DécorateurHenri Labbé
CostumierCyril Fontaine
MaquilleurMaud Baron-Baudouin
MonteurMarie Quinton
RégisseurMichel Vieu

générique artistique

Jacques Weber(le banquier Weber)
François Morel(le premier conseiller)
Edouard Baer(le trader)
Franck de La Personne(le banquier Franck)
Jacques Pater(le banquier Pater)
Elie Triffault(le Président)
Antoine Bourseiller(le banquier)
Jean-Damien Barbin(le banquier Barbin)
Patrick Mille(le nouveau deuxième conseiller)
Thibault de Montalembert(le Premier ministre)
Alain Pralon(le Gouverneur de la Banque centrale)
Benjamin Wangermée(le deuxième conseiller)
Christine Murillo(la fondée de pouvoir)
Odile Conseil(la grande journaliste)

Bibliographie

Synopsis

Le vieux banquier Weber apprend qu’un de ses jeunes traders a causé la faillite de sa société en prenant de gros risques avec ses capitaux. Une journaliste le convainc de tourner les choses à son avantage, en se servant de cet exemple pour condamner la finance moderne et sauvage, et réaffirmer les valeurs capitalistes originelles. La crise se répand sur les quatre autres banques principales, toutes liées les unes aux autres, et forcées de s’associer pour trouver une solution. Ensemble, les banquiers décident d’aller trouver le président de la République pour lui demander d’effacer leurs dettes. Celui-ci semble dans un premier temps réticent. Le Président, dépassé par les événements et manipulable, finit par accepter de refinancer les banques. Épaulé par un premier adjoint obséquieux, il licencie son deuxième conseiller, aux idées trop sociales. Mais son remplaçant est encore plus acharné, et tente sans cesse de le convaincre qu’il a fait une grave erreur en aidant les banques. Le Président semble, lui, persuadé qu’il a sauvé la France par ce choix. Les banquiers, quant à eux, heureux et presque étonnés d’avoir pu le manipuler si facilement, célèbrent leur victoire, et les nouveaux profits qui s’annoncent. Mais les caisses de l’État étant maintenant vidées, le peuple devient de plus en plus pressant. Les protestations et les grèves se multiplient. Finalement, le peuple marche sur l’Élysée, forçant le Président à prendre la fuite.
© LES FICHES DU CINEMA 2013
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