La Religieuse (2012) Guillaume Nicloux

Pays de productionFrance ; Allemagne ; Belgique
Sortie en France20 mars 2013
Procédé image35 mm - Couleur
Durée114 mn
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Générique technique

RéalisateurGuillaume Nicloux
Assistant réalisateurGuy-William Adoh
ScénaristeGuillaume Nicloux
ScénaristeJérôme Beaujour
Auteur de l'oeuvre originaleDenis Diderotd'après le roman "La Religieuse"
Coproduction Les Films du Worso (Paris)
Coproduction Belle Epoque Films GmbH (Stuttgart)
Coproduction Versus Production (Liège)
ProducteurSylvie Pialat
ProducteurBenoît Quainon
CoproducteurNicole Ringhut
CoproducteurJacques-Henri Bronckart
CoproducteurOlivier Bronckart
Producteur associéGilles Sitbon
Directeur de productionDidier Abot
Distributeur d'origine Le Pacte (Paris)
Directeur de la photographieYves Cape
Ingénieur du sonOlivier Dô Hùu
Ingénieur du sonJulie Brenta
Ingénieur du sonChristian Monheim
Compositeur de la musique originaleMax Richter
Directeur artistiqueOlivier Radot
CostumierAnaïs Romand
MonteurGuy Lecorne
Directeur de castingBrigitte Moidon

générique artistique

Pauline Étienne(Suzanne Simonin)
Isabelle Huppert(La Mère Supérieure du couvent Saint Eutrope)
Louise Bourgoin(Soeur Christine, Mère Supérieure du couvent Sainte Marie)
Martina Gedeck(la mère de Suzanne)
Françoise Lebrun(Madame de Moni, Mère Supérieure du couvent Sainte Marie)
Agathe Bonitzer(Soeur Thérèse)
Alice de Lencquesaing(Soeur Ursule)
Gilles Cohen(le père de Suzanne)
Marc Barbé(Père Castella)
François Négret(Maître Manouri)
Lou Castel(le baron de Lasson)
Pierre Nisse(le marquis de Croismare)

Bibliographie

Synopsis

1765. Château de Lasson. Le vieux baron, malade, laisse son fils, rappelé de voyage, lire les mémoires de Suzanne Simonin, qui expliquent la présence de la jeune fille qui dort en haut. Deux ans plus tôt. Suzanne, pieuse mais sans vocation, est contrainte par ses parents d’entrer très jeune au couvent, tandis que ses deux aînées sont dotées et mariées. La Mère Supérieure, Madame de Moni, la convainc de devenir novice. Mais, au cours de la cérémonie, Suzanne refuse. Sa mère la cloître dans sa chambre, puis lui avoue qu’elle est la fille adultérine d’un noble exilé. Elle la supplie de retourner au couvent pour expier sa faute. Effondrée, Suzanne accepte. À l’instant de ses voeux définitifs, elle plonge dans le coma. À son réveil, Mme de Moni est morte, remplacée par Soeur Christine. Considérant ses voeux non valides, Suzanne écrit en cachette ses mémoires et les transmet à un avocat, Maître Manouri, pour entamer une procédure d’annulation. Soeur Christine l’apprend et n’a de cesse de la réduire, par des brimades, à l’état le plus lamentable. En visite au couvent, l’archidiacre, outré, la rétablit dans ses droits. La demande de Suzanne est rejetée par Rome. Manouri la transfère au couvent Saint-Eutrope, où elle est confrontée à la tendresse saphique de sa nouvelle supérieure. Ayant retrouvé son père, à qui il remet ses mémoires, Manouri la fait évader et la lui amène. Au matin, Suzanne apprend, du fils du baron, la mort de leur père dans la nuit.
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