The Look of Love (2012) Michael Winterbottom

A Very Englishman

Pays de productionGrande-Bretagne ; Etats-Unis
Sortie en France19 juin 2013
Procédé image35 mm - NB - Couleur
Durée101 mn
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Générique technique

RéalisateurMichael Winterbottom
Réalisateur seconde équipeAnthony Wilcox
Assistant réalisateurZoe Liang
Assistant réalisateurPaula Turnbull
ScénaristeMatt Greenhalgh
Auteur de l'oeuvre originalePaul Willettsd'après la biographie "Members only : The Life and times of Paul Raymond"
Société de production StudioCanal
Société de production Film4 (London)
Société de production Revolution Films (London)
ProducteurMelissa Parmenter
CoproducteurAlice Dawson
CoproducteurJosh Hyams
Producteur exécutifAndrew Eaton
Producteur exécutifJenny Borgars
Producteur exécutifKatherine Butler
Producteur exécutifNorman Merry
Producteur exécutifDanny Perkins
Producteur exécutifPiers Wenger
Distributeur d'origine Pretty Pictures (Paris)
Directeur de la photographieHubert Taczanowski
CadreurJames Clarke
Opérateur steadycamSimon Baker
Opérateur steadycamSean Savage
Ingénieur du sonJoakim Sundström
MixeurRobert Farr
MixeurRob Hughes
Compositeur de la musique originaleAntony Genn
Compositeur de la musique originaleMartin Slattery
ChorégrapheFrancesca Jaynes
DécorateurJacqueline Abrahams
CostumierStéphanie Collie
MaquilleurFiona Leech
MaquilleurLaura Schiavo
CoiffeurFiona Leech
CoiffeurLaura Schiavo
MonteurMags Arnold
RégisseurTom Howard
Directeur de castingJina Jay
Coordinateur des effets visuelsMarc Knapton
Photographe de plateauAmelia Troubridge

générique artistique

Steve Coogan(Paul Raymond)
Anna Friel(Jean Raymond)
Imogen Poots(Debbie Raymond)
Tamsin Egerton(Fiona Richmond)
Chris Addison(Tony Power)
James Lance(Carl Snichter)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Années 1990. Paul Raymond commente l’overdose de sa fille, puis se réfugie chez lui, pour penser au passé. À la fin des années 1950, Paul Raymond tourne avec sa compagne un spectacle de filles nues. Rapidement, il réunit assez d’argent pour lancer un club de strip-tease à Soho. Profitant de la libération sexuelle des années 1960, il rencontre vite le succès. Devenu un symbole de réussite, il intéresse les médias et pose pour les caméras en self-made-man et père de famille comblé. Une façade qui s’effondre quand il rencontre Fiona Richmond, pour laquelle il quitte sa femme. Il crée ensuite un magazine de charme, qui devient un énorme succès d’édition. C’est là que sa fille, Debbie, quitte le pensionnat et déclare vouloir démarrer une carrière de chanteuse. Son père monte un spectacle entier autour d’elle. Mais c’est un fiasco. En revanche, Fiona, avec son propre spectacle, triomphe. Debbie commence à sombrer dans la drogue. Raymond continue à accumuler richesses et conquêtes, avant que Fiona ne le quitte. Il se rapproche encore plus de sa fille, qui parvient à guérir d’un cancer du sein. Autour de lui, tout le monde sombre peu à peu dans les excès. Raymond fait alors de Debbie son héritière officielle, et lui transfère une partie des responsabilités. Mais, peu de temps après, elle meurt d’une overdose. Raymond est seul chez lui. Il est devenu l’homme le plus riche d’Angleterre.d’un «vrai» théâtre au coeur de la capitale, cité Chaptal. C’est là l’enjeu majeur que retrace ce documentaire, le motif principal autour duquel sa narration s’articule. L’aventure ne fut pas une mince affaire et c’est un véritable parcours du combattant qui est ici exposé à rebours. Presque
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