Meu pé de laranja lima (2012) Marcos Bernstein

Mon bel oranger

Pays de productionBrésil ; France
Sortie en France21 août 2013
Procédé image35 mm - Couleur
Durée94 mn
>> Rechercher "Meu pé de laranja lima" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurMarcos Bernstein
ScénaristeMarcos Bernstein
ScénaristeMelanie Dimantas
Auteur de l'oeuvre originaleJosé Mauro de Vasconcelosd'après le roman "Mon bel oranger"
Société de production Passaro Films (Paris)
ProducteurKatia Machado
Producteur associéPatrick Siaretta
Producteur associéJérôme Merle
Producteur exécutifKatia Machado
Producteur exécutifElza Cataldo
Producteur exécutifSamantha Capideville
Distributeur d'origine DistriB Films (Neuilly sur Seine)
Directeur de la photographieGustavo Hadba
Ingénieur du sonBeto Ferraz
Compositeur de la musique originaleArmand Amar
Directeur artistiqueBia Junqueira
MonteurMarcelo Moraes

générique artistique

João Guilherme Ávila(Zeze)
José de Abreu(Portuga)
Caco Ciocler(José Mauro de Vasconcelos)
Eduardo Dascar(Paulo de Vasconcelos)
Fernanda Vianna(Selma)
Kathia Calil(Jandira)
Julia de Victa(Glória)
Tino Gomes(Ariovaldo)
Leônidas José(Luís)
Eduardo Moreira(Ladislau)

Bibliographie

Synopsis

Un homme se souvient : il a été Zézé, un enfant vivant avec ses parents misérables et sa nombreuse fratrie dans un petit village du Brésil. Vif, espiègle, intelligent, bon élève, il accumule les bêtises, ce qui en fait le souffre-douleur familial sauf pour sa soeur aînée Glória et son petit frère Luís, indéfectibles alliés. Noël s’annonce, mais Zézé sait que son père au chômage ne pourra offrir de cadeaux. Pour faire face à un quotidien morne, Zézé s’invente un monde imaginaire dans lequel un petit pied d’oranger planté dans le jardin familial devient son confident. Puis, il prête main forte à un chanteur des rues aux textes licencieux . Un jour qu’il claudique sur le chemin de l’école après s’être blessé le pied sur un éclat de verre, un homme surnommé Portugâ, au volant d’une superbe traction avant, s’arrête pour lui proposer de le rapprocher de l’école. Il amène en fait Zézé se faire soigner et manger des gâteaux. De ce moment, une indéfectible amitié se noue entre le gamin malicieux et le vieil homme. Zézé, qui l’initie à son monde magique, lui demande de l’adopter, Portugâ refuse mais lui promet de veiller sur lui. Un matin, Portugâ meurt au volant de sa voiture, écrasé par un train. Zézé, inconsolable, tombe malade. Ses parents, ignorant les liens l’unissant à Portugâ, pensent que c’est en raison de travaux de voirie appelés à détruire son oranger. Lentement Zézé se remet. Son père lui annonce alors qu’il a retrouvé un emploi et que les temps de misère sont finis.
© LES FICHES DU CINEMA 2013
Logo

Exploitation