Dom s bashenkoy (2012) Eva Neymann

La Maison à la tourelle

Pays de productionUkraine
Sortie en France20 novembre 2013
Procédé image35 mm - Couleur
Durée80 mn
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Générique technique

RéalisateurEva Neymann
ScénaristeEva Neymann
Auteur de l'oeuvre originaleFriedrich Gorensteind'après une nouvelle
Société de production 1+1 Production (Kiev)
ProducteurAlexander Tkachenko
Producteur déléguéNatalia Stribuk
Producteur exécutifStanislav Zurakhov
Distributeur d'origine A3 Distribution
Directeur de la photographieRimvydas Leipus
Ingénieur du sonAlexander Shchepotin
MixeurVladislav Ivarovskiy
DécorateurGennady Popov
CostumierRuslan Khvastov
MonteurPavel Zalesov

générique artistique

Dmitryi Kobetskoy(le petit garçon)
Katerina Golubeva(la mère)
Mikhail Veksler(le tonton)
Vitalina Bibliv(la tantine)
Nikolas Adamis(le petit du tonton)
Vitaliy Linetskiy(l'invalide)
Albert Filozov(le vieux à lunettes)
Guennadi Komarov(l'aveugle à l'accordéon)
Oleg Solovyov(la fillette chauve)
Irina Kitheva(l'infirmière âgée)
Yuliya Skarga(l'infirmière)
Mariya Politseymako(la vieille femme de la poste)
Yuri Nevgamonny(le vieil homme de la poste)

Bibliographie

Synopsis

Hiver 1944. Alors qu’elle rejoint sa famille en train, une femme accompagnée de son fils de 8 ans tombe subitement malade. Elle est hospitalisée d’urgence dans une ville inconnue que l’enfant, resté seul, doit traverser pour la rejoindre. À l’hôpital, après avoir retrouvé sa mère alitée dans une salle commune occupée par des dizaines de malades, il doit s’en aller assez vite car il ne lui est pas permis de rester à ses côtés. De retour à la gare, il parvient à se faire aider par un homme afin d’envoyer un télégramme à son grand-père. Ce dont il revient informer sa mère. Un médecin le retient et l’hospitalise. Au moins, il sera au chaud et nourri. Le lendemain, il découvre que sa mère est morte et quitte l’hôpital. Il cherche quelqu’un pour lui acheter un billet de train avec l’argent dont il dispose. Un homme richement vêtu accepte. Ayant valeur de coupe-file, l’acte de décès de la mère permet à celui-ci d’acheter rapidement les titres de transport dont il a besoin pour partir avec sa femme et son fils, plus celui du petit garçon. Cette famille de parvenus voyage avec l’enfant tout en le tenant un peu à l’écart. L’homme se montre obséquieux avec deux soldats éclopés dont l’un, aveugle, trimballe un accordéon et qui finissent par l’insulter et le chasser du wagon avec sa famille. Ils prennent l’enfant sous leur aile, demandent aux autres voyageurs d’en faire autant. Endormi, le garçon se réveille. Pour le rassurer, une femme lui a posé la main sur le visage. Il sourit.
© LES FICHES DU CINEMA 2013
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