Ana Arabia (2013) Amos Gitai

Ana Arabia

Pays de productionIsraël ; France
Sortie en France06 août 2014
Durée85 mn
DistributeurOcéan Films (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurAmos Gitai
ScénaristeAmos Gitai
ScénaristeMarie-José Sanselme
Société de production Hamon Hafakot (Tel Aviv)
Société de production Agav Hafakot (Tel Aviv)
Société de production Agav Films (Paris)
ProducteurMichael Tapuach
ProducteurAmos Gitai
ProducteurLaurent Truchot
Directeur de productionGady Levy
Directeur de la photographieGiora Bejach
Ingénieur du sonAlex Claude
DécorateurMiguel Merkin
CostumierLaura Sheim
MonteurIsabelle Ingold
Directeur de castingIlan Moscovitch

générique artistique

Yuval Scharf(Yael)
Yussuf Abu Warda(Yussuf)
Sarah Adler(Miriam)
Assi Levy(Sarah)
Uri Gavriel(Hassan)
Norman Issa(Norman)
Shady Srur(Walid)

Bibliographie

Synopsis

"Yael, jeune femme rousse, téléphone puis pousse une grille et hume l’air près d’un gros arbre. Elle avance dans la cour et se présente à trois hommes assis sous un auvent : journaliste israélienne, elle vient écrire un article sur Siam Hassam, née juive, épouse d’un Arabe, et qui vient de mourir. L’un des trois, Youssef, le mari, l’entraîne dans les ruelles étroites qui distribuent plusieurs maisons, lui raconte qu’il gagne (mal) sa vie en ramassant des déchets sur les chantiers et lui présente sa fille Myriam, qui défriche un coin de verger envahi par les herbes. Puis Youssef évoque sa femme, Polonaise née juive à Auschwitz. Il conte aussi la légende d’Antar, l’esclave noir, tout en déambulant.Il la conduit auprès de Sarah, sa belle-fille, épouse de son fils Jihad, qui épluche des légumes assise sur le perron de sa maison. Yael s’approche de Walid, autre fils de Youssef, qui change la roue de sa voiture et lui confie qu’il était autrefois pécheur, mais que les temps ont changé. Un voisin propose à Yael du thé et lui montre un petit terrain où, parmi les carcasses de voitures, broute un cheval famélique et s’égaillent quelques poules. Elle apprend l’histoire de Sarah, dont le mari la traitait ""moins que de la poussière"". Après une dernière visite aux trois hommes assis, puis à Myriam et Sarah, qui parlent de Siam en l’appelant Ana Arabia, Yael, en larmes, se dirige vers la grille et s’appuie à l’arbre."
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