Za one koji ne mogu da govore (2013) Jasmila Zbanic

Les Femmes de Visegrad

Pays de productionBosnie-Herzégovine ; Qatar ; Allemagne
Sortie en France30 avril 2014
Procédé image35 mm - Couleur
Durée82 mn
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Générique technique

RéalisateurJasmila Zbanic
ScénaristeKym Vercoe
ScénaristeJasmila Zbanic
ScénaristeZoran Solomun
Société de production Deblokada Productions
Société de production DFI - Doha Film Institute
Société de production The Post Republic (Berlin)
ProducteurDamir Ibrahimovich
ProducteurJasmila Zbanic
CoproducteurRebekka Garrido
CoproducteurMichael Reuter
Producteur associéAmira Lekic
Producteur associéMirza Hamzic
Producteur déléguéSabine Derflinger
Producteur déléguéJoslyn Barnes
Producteur déléguéCat Villiers
Distributeur d'origine Happiness Distribution (Paris)
Directeur de la photographieChristine A. Maier
Ingénieur du sonIgor Camo
Créateur des décorsZeljka Buric
CostumierLejla Hodzic
MaquilleurLamija Hadzihasanovic
MonteurYann Dedet

générique artistique

Kym Vercoe(Kim Vercoe)
Boris Isakovic(l'inspecteur de police)
Simon McBurney(Tim Clancy)
Branko Cvejic(le guide du musée)
Leon Lucev(Veljko)
Jasna Djuricic(Edina Omerovic)
Pamela Rabe(la mère)
Damir Kustura(Darko)
Sasa Orucevic(l'interprète policier)
Suvad Veletanlic(le danseur)

Bibliographie

Synopsis

Kym Vercoe, Australienne, débarque à Sarajevo en juillet 2011 pour de simples vacances. Se fiant à un guide touristique, la jeune comédienne réserve, par téléphone, une chambre d’hôtel au Vilina Vlas à Visegrad. Après un interrogatoire mené par des policiers goguenards, elle découvre Visegrad, ville baignée par la Drina, qu’enjambe un pont de pierre. Kim croise des motards avant d’atteindre l’hôtel paisible surplombant le pont. Troublée par l’absence de Mémorial de la guerre de 1992-95, elle assiste au festival rock annuel, refuse les avances de Darko, un biker, et, en août, regagne Sydney, où elle retrouve sa mère et ses amis. Elle leur confie sa hantise d’avoir dormi à l’endroit où 200 femmes furent violées.Elle apprend le serbe, visionne les témoignages de rescapées, avant de revenir à Sarajevo, sous la neige. Kim recueille les souvenirs de la directrice d’un musée évoquant les crimes perpétrés par des tortionnaires serbes, accueillis en héros au procès du Tribunal pénal international à La Haye. Puis elle rejoint Visegrad où elle visite le musée du célèbre écrivain Ivo Andric, le guide préférant, pour mieux les oublier, passer sous silence les horreurs du conflit. Suspectée d’enquêter, elle est sommée par la police de quitter Visegrad. Kim vole alors 200 fleurs jaunes dans un jardin et, assise sur son lit du Vilina Vlas, les effeuille en mémoire de chacune des femmes violées. La chambre de Kim libérée, une femme procède au nettoyage.
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