Le Temps des aveux (2014) Régis Wargnier

Pays de productionFrance ; Belgique ; Cambodge
Sortie en France17 décembre 2014
Procédé image35 mm - Couleur
Durée95 mn
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Générique technique

RéalisateurRégis Wargnier
ScénaristeRégis Wargnier
ScénaristeAntoine Audouard
Auteur de l'oeuvre originaleFrançois Bizotd'après le roman "Le Portail"
Société de production Les Films du Cap (Paris)
Société de production Scope Pictures (Bruxelles ; Rixensart)
Société de production Bophana Production (Phnom Penh)
Société de production France 3 Cinéma
Société de production Fimalac
ProducteurJean Cottin
ProducteurRithy Panh
ProducteurSidonie Dumas
CoproducteurLaurent Taieb
Directeur de productionPascal Bonnet
Distributeur d'origine Gaumont Distribution
Directeur de la photographieRenaud Chassaing
CadreurRenaat Lambeets
Ingénieur du sonAntoine Deflandre
MixeurFranco Piscopo
DécorateurPaul Rouschop
CostumierElisabeth Lehuger-Rousseau
MaquilleurChristophe Oliveira
MonteurYann Malcor
MonteurVéronique Lange
RégisseurBertrand Girard
Coordinateur des effets visuelsJoel Pinto

générique artistique

Raphaël Personnaz(François Bizot)
Phoeung Kompheak(Douch)
Olivier Gourmet(le consul Marsac)
Thanet Thorn(Néang)
Boren Chhith(Lay)
Rathana Soth(Phuong)
Steve Driesen(le Père Vernet)

Bibliographie

Synopsis

1971. Tandis que les Khmers rouges avancent dans les campagnes, François Bizot, ethnologue français installé à Angkor pour y restaurer les temples et marié à une Cambodgienne, dont il a une petite fille, Hélène, est arrêté, ainsi que son assistant et un jeune homme, Lay, qui avait voulu les suivre. Soupçonné d’être un espion de la CIA, il est condamné. Il rencontre son geôlier : Douch, qui lui demande d’écrire ses aveux. Refusant tout d’abord, Bizot raconte sa vie d’ethnologue amoureux du Cambodge. Douch n’y voit que des clichés de colon. Retenu à l’extérieur des baraquements, Bizot est aux premières loges des "disparitions" de prisonniers. Il se met à écrire intensément.Il prévient ses comparses qu’il faut s’évader, mais un des gardiens les surprend et Lay est torturé. Au comité de direction, Douch plaide l’innocence de Bizot, mais sa parole reste douteuse. Bizot parvient à s’évader (et découvre les ossements de "disparus"), puis il est vite repris. Convoqué devant le conseil, il est finalement reconnu innocent : il doit partir sans ses assistants. 1975, les Français doivent quitter le pays. Bizot obtient un passeport pour sa femme. Mais elle est arrêtée juste avant la frontière thaïlandaise. Des années plus tard, il revient à la demande de Douch, qui va être jugé et veut le seul avis du Français qu’il a sauvé. Séparé de sa femme, qu’il avait retrouvée quelques années après son exil et accompagné de sa fille, Bizot ne lui accorde pas son pardon.
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