Simindis kundzuli (2013) George Ovashvili

La Terre éphémère

Pays de productionGéorgie ; Allemagne ; France ; République Tchèque ; Kazakhstan ; Hongrie
Sortie en France24 décembre 2014
Procédé image35 mm - Couleur
Durée100 mn
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Générique technique

RéalisateurGeorge Ovashvili
ScénaristeNugzar Shataidze
ScénaristeGeorge Ovashvili
ScénaristeRoelof Jan Minneboo
Société de production Alamdary Films (Tbilissi)
Société de production 42film GmbH (Halle)
Société de production Arizona Films (Paris)
Société de production Axman Productions (Prague)
Société de production Focus-Fox (Budapest)
ProducteurNino Devdariani
ProducteurEike Goreczka
ProducteurGuillaume de Seille
ProducteurKarla Stojakova
Directeur de la photographieElemér Ragalyi
Ingénieur du sonMarc Nouyrigat
Ingénieur du sonFrédéric Théry
MixeurJohannes Doberenz
Compositeur de la musique originaleJosef Bardanashvili
DécorateurAgo Ariunsaichan Dawaachu
MonteurSun-min Kim

générique artistique

Ilyas Salman(le grand-père)
Mariam Buturishvili(la jeune fille)
Irakli Samushia(le soldat)

Bibliographie

Synopsis

"Sur un îlot, une barque accoste. Un vieil homme gratte la terre, la goûte. Il revient avec ses outils et de grands morceaux de bois, avec lesquels il construit une cabane. Les jours suivants, sa petite-fille, grande et jolie, l’accompagne, l’aide à finir la maison et à poser le toit de paille. Il lui apprend à pêcher dans le fleuve avec un grand panier en osier, à vider le poisson, le saler, le faire sécher ou le cuire. Bientôt, l’adolescente s’approprie ces gestes et dépose sa poupée dans leur abri, où ils ont installé deux lits. Mais une barque à moteur qui transporte des gardes-frontières vient à passer et l’un d’eux la toise. Des coups de feu se font entendre. Des militaires du camp opposé interpellent celle-ci.Sur un îlot, une barque accoste. Un vieil homme gratte la terre, la goûte. Il revient avec ses outils et de grands morceaux de bois, avec lesquels il construit une cabane. Les jours suivants, sa petite-fille, grande et jolie, l’accompagne, l’aide à finir la maison et à poser le toit de paille. Il lui apprend à pêcher dans le fleuve avec un grand panier en osier, à vider le poisson, le saler, le faire sécher ou le cuire. Bientôt, l’adolescente s’approprie ces gestes et dépose sa poupée dans leur abri, où ils ont installé deux lits. Mais une barque à moteur qui transporte des gardes-frontières vient à passer et l’un d’eux la toise. Des coups de feu se font entendre. Des militaires du camp opposé interpellent celle-ci. "
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