Chiisai ouchi (2014) Yoji Yamada

La Maison au toit rouge

Pays de productionJapon
Sortie en France01 avril 2015
Procédé image35 mm - Couleur
Durée136 mn
>> Rechercher "Chiisai ouchi" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurYoji Yamada
Assistant réalisateurYoji Yamada
ScénaristeEmiko Hiramatsu
Auteur de l'oeuvre originaleKyoko Nakajimad'après le roman "Chiisai Ouchi"
Société de production Shochiku Company (Tokyo)
ProducteurTadashi Osumi
Producteur associéHiroshi Fukazawa
Producteur associéHiroyuki Saitô
Producteur exécutifJun'ichi Sakomoto
Distributeur d'origine Pyramide Distribution (Paris)
Directeur de la photographieMasashi Chikamori
Ingénieur du sonKazumi Kishida
Compositeur de la musique originaleJoe Hisaishi
DécorateurMitsuo Degawa
DécorateurDaisuke Sue
MonteurIwao Ishii

générique artistique

Takako Matsu(Tokiko)
Haru Kuroki(Taki)
Takataro Kataoka(Masaki
Hidetaka Yoshioka(Ikatura)
Satoshi Tsumabuki(Takeshi)
Chieko Baishô(Taki, âgée)

Bibliographie

Synopsis

Après l’incinération de sa grand-tante Taki, Takeshi découvre chez elle l’autobiographie qu’il l’incita à écrire durant les longs moments passés ensemble. En 1936, Taki a 18 ans. Elle quitte sa campagne natale pour travailler comme servante près de Tokyo. D’abord employée chez un vieil écrivain dont l’épouse redoute sa jeunesse, Taki est confiée, en 1937, à la famille d’une nièce, Tokiko, femme de Masaki, fabriquant de jouets, et mère du jeune Kyo. L’harmonie règne dans la maison rouge jusqu’à l’arrivée d’Ikatura, nouveau collègue célibataire de Masaki dont le patron fête chez lui la chute de Nankin, espérant ainsi prospérer. Aux grivoiseries des hommes, le jeune artiste préfère la compagnie de Tokiko et de Taki, au chevet de Kyo, atteint de la poliomyélite. Il multiplie ses visites, assiste incidemment à un concert aux côtés de Tokiko, qui l’invite à dormir un soir de typhon en l’embrassant furtivement. Masaki charge sa femme d’"arranger" le mariage d’Ikatura. Tokiko se rend chez lui à plusieurs reprises. Taki devient alors le témoin inquiet de l’amour clandestin de sa patronne. Fin 1943, Ikatura est mobilisé. Tokiko veut se rendre chez lui une dernière fois mais Taki la convainc de lui confier une lettre lui fixant rendez-vous chez elle, plutôt que d’encourir le déshonneur. Soixante ans plus tard, à la mort de Taki, Takeshi retrouve la lettre cachetée et l’apporte à Kyo. Handicapé, le vieillard pardonne à sa mère et à Taki pour "sa si petite faute".
© LES FICHES DU CINEMA 2015
Logo

Exploitation