Anina (2012) Alfredo Soderguit

Anina

Pays de productionUruguay ; Colombie
Sortie en France30 septembre 2015
Procédé image35 mm - Couleur
Durée80 mn
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Générique technique

RéalisateurAlfredo Soderguit
ScénaristeAlfredo Soderguit
ScénaristeGermán Tejeira
ScénaristeJulián Goyoaga
ScénaristeAlejo Schettini
ScénaristeFederico Ivanier
Auteur de l'oeuvre originaleSergio López Suárezd'après le roman "Anina Yatay Salas"
Société de production Palermo Estudio (Montevideo)
Société de production Raindogs Ciné (Montevideo)
Société de production Antorcha Films (Santiago de Cali)
ProducteurGermán Tejeira
ProducteurJulián Goyoaga
ProducteurJhonny Hendrix
Distributeur d'origine Septième Factory Distribution (Strasbourg)
Directeur de la photographieAlejo Schettini
Compositeur de la musique originaleGastón Otero
Compositeur de la musique originaleBruno Boselli
Auteur des chansons originalesGuillermo Pesoa
Auteur des chansons originalesAlejandro Balbis
Auteur des chansons originalesDino y Tabaré Rivero
Directeur artistiqueSebastián Santana
MonteurJulián Goyoaga
MonteurGermán Tejeira
Superviseur des personnages animésAlfredo Soderguit

générique artistique

Federica Lacaño(Anina)
María Mendive(la mère d'Anina)
César Troncoso(le père d'Anina)
Cristina Morán(le directeur)
Petru Valenski(Tota)
Roberto Suárez(Pocha)
Gimena Fajardo
Florencia Zabaleta
Guillermina Pardo
Lucía Parrilla

Bibliographie

Synopsis

Les trois parties du nom d’Anina Yatay Salas sont des palindromes : on peut les lire de droite à gauche ou de gauche à droite. Pour Anina, 10 ans, et ses parents, ce nom est magique, mais pour ses camarades d’école, il est ridicule. Yisel, qu’Anina a bousculée dans la cour sans faire exprès, reprend ce dernier jugement pour se moquer d’elle, tandis qu’Anina la traite d’éléphante. À cause de leur dispute, arrêtée par la gentille et la méchante maîtresses, les deux filles se retrouvent dans le bureau de la directrice, qui donne à chacune une enveloppe noire cachetée de cire rouge qu’elles ne doivent ouvrir qu’au bout d’une semaine. Anina est persuadée que l’enveloppe contient la pire punition du monde. Elle aimerait savoir... Sa meilleure amie a une idée : il suffit d’ouvrir l’enveloppe d’Yisel. En fouillant dans le sac de celle-ci, puis en la suivant, elles découvrent qu’Yisel est malheureuse parce que son père est parti en Australie. Anina, elle, est heureuse, même si elle n’est pas sûre que le garçon dont elle est amoureuse l’aime en retour. Son père travaille à la maison, lui chante des chansons et lui prépare son plat favori. Il lui propose d’inviter Yisel à déjeuner. Mais, la nuit, hantée par l’image de la méchante maîtresse et de la vieille voisine qui sermonne sa maman sur l’éducation, elle fait des cauchemars... Son enveloppe s’est ouverte en tombant. Elle découvre qu’elle ne contient rien. La directrice voulait juste faire réfléchir les deux filles.
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