El Club (2014) Pablo Larraín

El Club

Pays de productionChili
Sortie en France18 novembre 2015
Procédé image35 mm - Couleur
Durée97 mn
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Générique technique

RéalisateurPablo Larraín
ScénaristeGuillermo Calderón
ScénaristeDaniel Villalobos
ScénaristePablo Larraín
Société de production Fabula (Santiago de Chile)
ProducteurJuan de Dios Larraín
Producteur exécutifRocío Jadue
Producteur exécutifJuan Ignacio Correa
Producteur exécutifMariane Hartard
Directeur de productionEduardo Castro
Distributeur d'origine Wild Bunch Distribution (Paris)
Directeur de la photographieSergio Armstrong
Ingénieur du sonMiguel Hormazábal
DécorateurEstefania Larrain
CostumierEstefania Larrain
MonteurSebastián Sepúlveda

générique artistique

Alfredo Castro(le père Vidal)
Roberto Farías(Sandokan)
Antonia Zegers(la mère Monica)
Jaime Vadell(le père Silva)
Alejandro Goic(le père Ortega)
Alejandro Sieveking(le père Ramirez)
Marcelo Alonso(le père Garcia)
José Soza(le père Lazcano)
Francisco Reyes(le père Alfonso)

Bibliographie

Synopsis

La Boca, petite station balnéaire chilienne. Les Pères Vidal, Ortega, Silva, Ramirez, et Soeur Mónica, vivent dans une maison face au Pacifique. Religieux pédophiles ou criminels, ils ont été soustraits à la justice civile par leur hiérarchie. Les paris sur les courses de lévriers, que gagne souvent Éclair, entraîné par Vidal, sont leur distraction. Dans le sillage d’un nouvel arrivant, le Père Lazcano, un jeune homme hirsute, Sandokan, clame qu’il en a été la victime. Pétrifiés, les prêtres enjoignent à Lazcano de le calmer. Mónica sort une arme, avec laquelle Lazcano se suicide. Peu après, le Vatican envoie le Père García, jeune et fringant jésuite, pour enquêter et fermer la maison. Il connaît leur dossier et les entend un par un, espérant leur faire prendre conscience de leurs crimes. En vain : chacun se justifie ou nie, sauf Ramirez, gâteux. Accusée de maltraitance à enfant, Mónica menace de tout révéler à la presse si la maison est fermée. García interroge Sandokan, précairement installé au village, et lui propose une place en foyer. Mais le jeune homme veut rester près des prêtres et devient un problème. Une nuit, tandis que Vidal cherche une solution de son côté, Mónica tue Éclair, Ortega et Silva d’autres chiens, puis ils désignent Sandokan comme coupable aux villageois, qui le passent à tabac. García laisse faire. Il les arrête ensuite, relève et soigne Sandokan, avant d’annoncer aux prêtres que, à défaut d’aller en prison, ils cohabiteront désormais avec ce dernier, béat.
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