Les Beaux jours d'Aranjuez (2015) Wim Wenders

Pays de productionFrance ; Allemagne ; Portugal
Sortie en France02 novembre 2016
Procédé image35 mm - Couleur
Durée87 mn
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Générique technique

RéalisateurWim Wenders
Assistant réalisateurLeocadie Handke
ScénaristeWim Wenders
Auteur de l'oeuvre originalePeter Handked'après la pièce "Les Beaux Jours d'Aranjuez"
Société de production Alfama Films Production (Paris)
Société de production Neue Road Movies GmbH (Hamburg ; Berlin)
Coproduction Leopardo Filmes (Lisboa)
ProducteurPaulo Branco
ProducteurGian-Piero Ringel
Producteur exécutifThierry Cretagne
Distributeur d'origine Alfama Films Production (Paris)
Directeur de la photographieBenoît Debie
Ingénieur du sonPierre Tucat
MixeurAnsgar Frerich
Créateur des décorsVirginie Hernvann
Créateur des décorsThierry Flamand
CostumierJudy Shrewsbury
MonteurBeatrice Babin

générique artistique

Reda Kateb(l'homme)
Sophie Semin(la femme)
Jens Harzer(l'écrivain)
Peter Handke(le jardinier)
Nick Cave(dans son propre rôle)

Bibliographie

Synopsis

Un écrivain est assis à son bureau, une machine à écrire devant lui. Dans le hall d’entrée de sa maison, un juke-box Wurlitzer diffuse de la musique. Par la fenêtre ouverte, l’écrivain observe la terrasse sur laquelle une femme et un homme profitent des derniers jours d’été. Au loin, on aperçoit Paris. Timidement, l’homme demande qui doit commencer. La femme lui laisse la main. Il l’interroge sur sa première expérience sexuelle. La femme lui répond, s’attarde sur ce que l’on ressent quand on est une femme et que l’on a un amant, sur les relations amoureuses avant, pendant et après. Elle hésite, se reprend, tandis que l’homme l’interrompt pour parler d’oiseaux et d’arbres. Puis elle continue, parle de la femme en tant qu’origine du monde. L’homme se lève, va s’asseoir sur les marches qui bordent la terrasse. Il évoque les rouges-gorges, les baies sauvages et Aranjuez, cette ville où il a séjourné et où ne résident ni roi, ni reine. Dans le hall, en bas de l’escalier, trône un large piano à queue. Nick Cave s’y installe et joue Into My Arms. Sur la terrasse, la femme et l’homme reprennent leur dialogue, parlent de musique et chantonnent. L’écrivain dans la maison s’est levé à nouveau, il enfile son manteau, sort et s’enfonce dans la forêt qui jouxte la maison. Sur la terrasse, la femme et l’homme ont disparu. À la tombée de la nuit, le juke-box illumine le hall et diffuse une dernière musique.
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