Bedoune tarikh, bedoune emza (2017) Vahid Jalilvand

Cas de conscience

Pays de productionIran
Sortie en France21 février 2018
Procédé image35 mm - Couleur
Durée104 mn
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Générique technique

RéalisateurVahid Jalilvand
Assistant réalisateurZeinab Nassrollahi
ScénaristeAli Zarnegar
ScénaristeVahid Jalilvand
ProducteurAli Jalilvand
ProducteurEhsan Alikhani
Producteur associéVahid Jalilvand
Distributeur d'origine Damned Distribution (Paris)
Directeur de la photographiePeyman Shadmanfar
Ingénieur du sonAmin Mirshekari
MixeurSeyyed Alireza Alavian
Compositeur de la musique originalePeyman Yazdanian
MaquilleurAbdollah Eskandari
MonteurVahid Jalilvand
MonteurSepehr Vakili

générique artistique

Navid Mohammadzadeh(Moussa)
Amir Aghaee(le docteur Nariman)
Hediyeh Tehrani(Sayeh)
Zakieh Behbahani(Leila)
Saeed Dakh(l'inspecteur)
Alireza Ostadi(l'assistant du procureur)

Bibliographie

Synopsis

Gêné par un chauffard, le docteur Nariman renverse avec sa voiture une moto sur laquelle se trouvent Moussa, sa femme Leila et leurs deux enfants. Nariman dédommage Moussa pour les dégâts et ausculte Amir, son fils de 8 ans, qui s’est légèrement cogné la tête. Il leur conseille de passer à la clinique pour vérifier que tout va bien, mais Moussa poursuit sa route, malgré les injonctions de Nariman, qui les suit en voiture. Le lendemain, Nariman reconnaît le corps d’Amir à la morgue. C’est sa collègue Sayeh qui s’occupe de recevoir Moussa et Leila. Elle leur apprend que l’autopsie a révélé que la mort de l’enfant est due au botulisme, maladie d’origine alimentaire le plus souvent. Moussa retrouve l’homme qui lui a vendu des poulets avariés et le passe à tabac devant les autres employés de l’entrepôt où il travaille. Quand Moussa est emprisonné, Nariman lui rend visite et lui expose ses doutes quant à la mort d’Amir. Il demande à exhumer le corps de l’enfant, afin de pratiquer une nouvelle autopsie. Ce qu’il craignait se confirme : le botulisme aurait emporté Amir dans les jours suivants, mais il est bel et bien décédé des suites de son choc à la tête. Trois semaines plus tard. Devant un juge, Nariman avoue sa négligence médicale et la cause réelle du décès. Lorsqu’il repart en voiture avec Sayeh, celle-ci lui demande s’il est certain qu’Amir est mort de la chute, et non du botulisme. Naiman ne répond pas.
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