Générique technique

Réalisateur	Stéphane Brizé
Assistant réalisateur	Emile Louis
Assistant réalisateur	Romain Cros
Scénariste	Stéphane Brizé
Scénariste	Olivier Gorce
Collaborateur scénaristique	Xavier Mathieu
Collaborateur scénaristique	Ralph Blindauer
Collaborateur scénaristique	Olivier Lemaire
Dialoguiste	Stéphane Brizé
Dialoguiste	Olivier Gorce
Société de production	Nord-Ouest Films (Paris)
Coproduction	France 3 Cinéma
Coproducteur	Vincent Lindon
Coproducteur	Stéphane Brizé
Producteur associé	Pierre Guyard
Producteur délégué	Christophe Rossignon
Producteur délégué	Philip Boëffard
Producteur exécutif	Eve François Machuel
Directeur de production	Christophe Desenclos
Distributeur d'origine	Diaphana (Paris)
Directeur de la photographie	Eric Dumont
Cadreur	Colin Houben
Cadreur	Thibault Delavigne
Ingénieur du son	Emmanuelle Villard
Mixeur	Hervé Guyader
Compositeur de la musique originale	Bertrand Blessing
Décorateur	Valérie Saradjian
Costumier	Pia Micha
Maquilleur	Tina Rovère
Coiffeur	Tina Rovère
Monteur	Anne Klotz
Script	Marion Pin
Régisseur	Kim Nguyen
Directeur de casting	Coralie Amedeo
Cascadeur	Michel Bouis
Photographe de plateau	Karl Colonnier

générique artistique

Vincent Lindon	(Laurent Amédéo)
Mélanie Rover	(Mélanie)
Jacques Borderie	(Monsieur Borderie)
David Rey	(le directeur administratif et financier)
Olivier Lemaire	(un syndicaliste SIPI)
Bruno Bourthol	(un syndicaliste SIPI)
Rachid Haryouli	(un syndicaliste SIPI)
Stéphanie Piétrois	(une syndicaliste SIPI)
Isabelle Rufin	(la DRH)
Sébastien Vamelle	(un syndicaliste CGT)
Teddy Perrot	(un syndicaliste CGT)
Letizia Storti	(une syndicaliste CGT)
Jean-Noël Tronc	(le maire d'Agen)
Valérie Lamond	(l'avocate des salariés)
Guillaume Daret	(le journaliste TV)
Jean Grosset	(le conseiller social)
Frédéric Lacomare	(le syndicaliste CFE-CGC)
Anthony Pitalier	(le collaborateur du conseiller social)
Séverine Charrié	(l'ex-femme de Laurent)
Romain de Boissieu	(l'expert en économie industrielle)
Marie Nadaud	(l'agent de sécurité MEDEF)
Grégoire Ruhland	(un cadre du MEDEF)
Daphné Latour	(une cadre du MEDEF)
Guillaume Draux	(Monsieur Censier)
Carole Bluteau	(la syndicaliste CFTC)
Cédric Personeni	(le syndicaliste CFTC)
Laurent Boukhari	(un syndicaliste FO)
Michel Freyne	(un syndicaliste FO)
Cédric Dayraud	(le cadre)
Jean-Claude Laugeois	(le responsable communication)
Pieter-Jan Peeters	(le directeur administratif et financier de DIMKE)
Martin Hauser	(le PDG de DIMKE)
Marie-Hélène Fournier	(l'avocate de la direction)
Laurent Bruneau	(l'avocat de la direction)
Emma Monnoyeur	(la fille de Laurent)
Aaron Baudson	(le bébé)
Mathis Ramage	(le gendre de Laurent)
Laurent Desbonnets	(un journaliste)
Mélanie Bontems	(une journaliste)
Alexis Cuvillier	(un journaliste)
Nicolas de Labareyre	(un journaliste)
Caroline Thébaud	(une journaliste)
Angélique Bouin	(une journaliste)

Bibliographie

Synopsis

À Agen, l’usine de Perrin Industrie va fermer, alors que Borderie, son directeur, avait promis, lors du rachat par la multinationale allemande DIMKE, que les emplois seraient sauvegardés cinq ans contre baisse des salaires. Laurent Amédéo, secondé par Mélanie, tente de faire respecter l’accord. En vain. La grève et l’occupation de l’usine sont votées. Le conseiller social de l’Élysée assure les grévistes du soutien de l’État, mais cela ne permet pas d’obtenir une rencontre avec Hauser, le PDG de DIMKE. Les ouvriers se rendent au siège du Medef pour demander à son président de faire pression sur Hauser. Ils sont évacués par les CRS. Après deux mois de blocage, Borderie fait intervenir les CRS pour libérer l’usine, et une partie des ouvriers, qui était pour accepter la prime de départ, reprend le travail. Les grévistes restants, toujours menés par Laurent et Mélanie, se mobilisent sur un autre site du groupe. Une proposition de reprise de l’usine d’Agen est faite. Le conseiller de l’Élysée obtient un rendez-vous entre Hauser, les grévistes et le repreneur. Laurent comprend que DIMKE refuse de vendre l’usine pour s’éviter un concurrent potentiel. Des violences éclatent : treize grévistes, dont Laurent, sont licenciés pour faute grave. Laurent est tenu pour responsable de cet échec. Il rend visite à sa fille qui vient d’accoucher et part s’immoler devant le siège de DIMKE en Allemagne. La direction renonce alors au renvoi sec des grévistes coupables de violence, et reprend de nouvelles négociations.
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