Made in Bangladesh (2018) Rubaiyat Hossain

Pays de productionFrance ; Bangladesh ; Danemark ; Portugal
Sortie en France04 décembre 2019
Procédé image35 mm - Couleur
Durée95 mn
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Générique technique

RéalisateurRubaiyat Hossain
ScénaristeRubaiyat Hossain
ScénaristePhilippe Barrière
DialoguisteRubaiyat Hossain
DialoguistePhilippe Barrière
Société de production Les Films de l'Après-Midi (Paris)
Société de production Khona Talkies (Dhaka)
Coproduction Beofilm (København)
Coproduction Midas Filmes (Lisboa)
Coproduction Cinema Cocoon (Dacca)
ProducteurFrançois d' Artemare
ProducteurAshique Mostafa
CoproducteurPeter Hyldhal
CoproducteurPedro Borges
CoproducteurAadnan Imtiaz Ahmed
CoproducteurRubaiyat Hossain
Distributeur d'origine Pyramide Distribution (Paris)

générique artistique

Rikita Nandini Shimu(Shimu)
Novera Rahman(Daliya)
Deepanwita Martin(Reshma)
Parvin Paru(Maya)
Mayabi Rahman(Tania)
Mostafa Monwar(Sohel)
Shatabdi Wadud(Reza)

Bibliographie

Synopsis

Shimu est employée dans une usine textile au Bangladesh. Elle est mariée à un homme qui ne travaille pas. Elle doit donc assumer les factures du couple, payer le loyer et faire les courses. À l’usine, les conditions de travail, exécrables, se soldent par la mort d’une employée dans un incendie. Shimu très choquée, rencontre un jour une femme, Nasima, qui lui propose de créer un syndicat au sein de son usine. La jeune femme découvre qu’il existe un code du travail et que les ouvrières ont des droits. Commence alors une croisade pour créer un syndicat. La jeune ouvrière, forte du soutien de ses collègues, cherche à recueillir les signatures d’un tiers des employées de l’usine. Elle participe à des réunions où elle apprend quels sont leurs droits en tant qu’employées. Lorsqu’elle avoue son projet de syndicat à son mari, chômeur, ce dernier lui ordonne d’arrêter et l’oblige à porter le hijab. Elle porte le voile mais refuse d’abandonner. Les patrons de l’entreprise apprennent que les employées veulent créer un syndicat et les menacent de licenciement. Une des amies de Shimu se fait renvoyer et elles commencent à regretter de l’avoir suivie. Mais elle tient bon et refuse de lâcher prise. Quand elle obtient un nombre suffisant de signatures, elle se rend au Ministère du Travail. Elle affronte le fonctionnaire qui refuse tout d’abord de valider le syndicat, avant de céder lorsqu’elle le menace. C’est le début d’une nouvelle vie pour Shimu et les employées de l’usine.
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