Générique technique

Réalisateur	Fritz Lang
Assistant réalisateur	Edward Donahue
Scénariste	Alfred Hayes
Collaborateur scénaristique	David Dortort
Auteur de l'oeuvre originale	Clifford Odets	d'après la pièce de théâtre "Clash by night"
Société de production	Wald-Krasna Productions
Société de production	RKO Radio Pictures - Radio-Keith-Orpheum
Producteur	Harriet Parsons
Producteur	Norman Krasna
Producteur exécutif	Jerry Wald
Directeur de production	Norman Cook
Distributeur d'origine	RKO Radio Pictures - Radio-Keith-Orpheum
Directeur de la photographie	Nicholas Musuraca
Ingénieur du son	Jean L. Speak
Ingénieur du son	Clem Portman
Compositeur de la musique originale	Roy Webb
Auteur des chansons originales	Joe Gasparre	"I hear a rhapsody"
Auteur des chansons originales	Jack Baker	"I hear a rhapsody"
Auteur des chansons originales	George Fragos	"I hear a rhapsody"
Interprète des chansons originales	Tony Martin	"I hear a rhapsody"
Directeur artistique	Albert S. D'Agostino
Directeur artistique	Carroll Clark
Décorateur	Darrell Silvera
Décorateur	Jack Mills
Costumier	Michael Woulfe
Maquilleur	Mel Berns
Coiffeur	Larry Germain
Monteur	George Amy
Coordinateur des effets spéciaux	Harold E. Wellman

générique artistique

Barbara Stanwyck	(Mae Doyle D'Amato)
Paul Douglas	(Jerry D'Amato)
Robert Ryan	(Earl Pfeiffer)
Marilyn Monroe	(Peggy)
J. Carrol Naish	(l'oncle Vince)
Keith Andes	(Joe Doyle)
Silvio Minciotti	(Papa D'Amato)
Diane Stewart	(une des enfants jumelles)
Deborah Stewart	(une des enfants jumelles)
Roy Darmour	(un homme)
Gilbert Frye	(un homme)
Nancy Duke	(une invitée)
Sally Yarnell	(une invitée)
Irene Crosby	(une invitée)
Helen Hansen	(une invitée)
Dan Bernaducci	(un invité)
Dick Coe	(un invité)
Al Cavens	(un invité)
Julius Tannen	(un serveur)
William Bailey	(un serveur)
Bert Stevens	(un barman)
Mario Siletti	(un barman)
Bill Slack	(un client)
Art Dupuis	(un client)
Frank Kreig	(Art)
Tony Dante	(le pêcheur)

Bibliographie

Périodiques

• Box Office, 24 mai 1952
• Cahiers du Cinéma (Les), n° 19, janvier 1953
• CineAction !, n° 52, juin 2000
• Cinéma 82, n° 287, novembre 1982
• Cinématographe, n° 126, janvier 1987
• Cinémonde, n° 956, 28 novembre 1952
• Cinémonde, n° 957, 5 décembre 1952
• Classic Images, n° 360, juin 2005
• Daily Film Renter, vol. 26, n° 6363, 23 juillet 1952
• Daily Variety, 14 mai 1952
• Daily Variety, 3 juin 1952
• Dirigido por..., n° 368, juin 2007
• Film and Television Technician, décembre 1963
• Film Daily, 16 mai 1952
• Film-Dienst, 1er décembre 1952
• Kinematograph Weekly, n° 2353, 31 juillet 1952
• Monthly Film Bulletin, vol. 19, n° 224, septembre 1952
• Motion Picture Herald, 17 mai 1952
• National Film Theatre, mars 1962
• Nosferatu, n° 47, décembre 2004
• Revue du Cinéma (La) / Image et Son, n° 377, novembre 1982
• Sight and Sound, vol. 22, n° 2, octobre-décembre 1952
• Spielfilme im Deutschen Fernsehen, 1969-1970
• Today's Cinema, vol. 79, n° 6552, 23 juillet 1952
• Trafic, n° 41, printemps 2002
• Variety, 14 mai 1952

Sites Internet

• Analyse du film, par Shangols

Synopsis

Après dix ans d'absence au cours desquelles elle a vainement cherché l'homme de sa vie, l'héroïne revient au pays natal : un petit port de pêche. Elle épouse un pêcheur sans être bien convaincue que celui-ci pourra faire son bonheur car elle n'est pas faite pour repriser les chaussettes ni faire la lessive. L'opérateur du cinéma local, qui est en train de liquider son divorce, estime que la meilleure des femmes est celle qui, quand on la lance en l'air, reste collée au plafond. Longtemps notre héroïne a lutté contre l'attirance physique qu'exerce sur elle ce cynique individu qui la dégoûte tout en lui plaisant. Un jour, pourtant, pendant que son mari est parti à la pêche, elle ne résiste plus. Les deux amants décident de fausser compagnie au mari en emportant la fillette de la jeune femme. Alors le mari se fâche, il flanque une correction à l'opérateur et emporte la petite fille sur son bateau. La femme s'aperçoit que cela fait l'affaire de son amant qui, au fond, ne tenait pas à s'embarrasser de l'enfant. Il y a quelque chose qui ne va plus. Repentante, elle rejoint son mari, celui-ci lui pardonne et l'amant disparaît.
© Les fiches du cinéma 2003