The Sterile Cuckoo (1968) Alan J. Pakula

Pookie

Pays de productionEtats-Unis
Sortie en France14 janvier 1970
Procédé image35 mm - Couleur
Durée107 mn
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Générique technique

RéalisateurAlan J. Pakula
Assistant réalisateurDon Kranze
Assistant réalisateurNewt Arnold
Assistant réalisateurSteve Marvin
ScénaristeAlvin Sargent
Auteur de l'oeuvre originaleJohn Nicholsd'après le roman "The Sterile cuckoo"
Société de production Boardwalk Productions
ProducteurAlan J. Pakula
Producteur associéDavid Lange
Directeur de productionKenneth Deland
Distributeur d'origine Paramount Films
Directeur de la photographieMilton R. Krasner
CadreurAlfred Lebowitz
Ingénieur du sonJohn Muchmore
MixeurBen Winkler
MixeurJohn Wilkinson
Compositeur de la musique originaleFred Karlin
Auteur des chansons originalesDory Previn"Come sunday morning"
Compositeur des chansons originalesFred Karlin"Come sunday morning"
Interprète des chansons originales The Sandpipers
Directeur artistiqueRoland Anderson
DécorateurChuck Pierce
CostumierJennifer L. Parsonspour les femmes
CostumierJohn A. Andersonpour les hommes
MaquilleurMike Moschella
Coiffeur Cherie
MonteurSam O'Steen
MonteurJohn W. Wheeler
ScriptMarie Kenney
Coordinateur des effets spéciauxCharles Spurgeon

générique artistique

Liza Minnelli(Pookie Adams)
Wendell Burton(Jerry Payne)
Tim McIntire(Charlie Schumacher)
Elizabeth Harrower(la propriétaire)
Austin Green(le père de Pookie)
Sandy Faison(Nancy Putnam)
Chris Bugbee(Roe)
Jawn McKinley(Helen Upshaw)
Anita Alberts
Eric Best
Becki Davis
Phillip S. Derfler
Mark P. Fish
A. Frederick Gooseen
Cynthia Hull
John Hussey
Tim Laurie
Fred M. Lerner
Paul McConnell
Margaret Markov
Warren Peterson
Toni Shorrock
Towyna Thomas
Frances Tobin
Adele Wynn

Bibliographie

Synopsis

A l'arrêt du bus qui doit la mener vers son collège, la jeune Pookie a le coup de foudre pour un étudiant de son âge, Jerry Payne, qui va, lui, s'installer à l'université voisine. Dès lors, Pookie quitte le moins possible l'élu de son coeur. Sa fantaisie, sa joie de vivre continuelle quoique mêlée de pessimisme, ses plaisanteries incessantes, surprennent beaucoup le jeune homme avant de le séduire. Mais Pookie a aussi des qualités d'émotion, de chaleur humaine qui révèlent un autre aspect de son caractère. Elle est au fond un être extrêmement vulnérable, en proie assez souvent à l'obsession de la mort dont elle essaie de se débarrasser par des plaisanteries qui ne sont pas toujours du meilleur goût. C'est également une instable qui ne s'entend jamais avec son entourage : seul Jerry trouvera grâce à ses yeux. Un jour, ils louent une chambre dans un petit motel de campagne et là, Pookie se donne à Terry. Plus tard, elle l'invitera à un bal de son collège et, ayant bu trop d'alcool, lance à toutes ses camarades des vérités cruelles dont elle devra s'excuser par la suite. Les vacances arrivent. Jerry a décidé de travailler et de rester seul au collège, Pookie le supplie d'accepter qu'elle vienne le rejoindre. Jerry se fait prier pour dire oui. Durant plusieurs semaines, elle lui fait ses repas, le regarde travailler et, le plus souvent, s'ennuie. A la fin de ces curieuses vacances, Jerry dit à Pookie qu'il vaut mieux qu'ils cessent de se revoir pendant une certaine période. Cela était déjà arrivé quand Pookie avait annoncé à Jerry qu'elle allait avoir un bébé. Elle était rentrée chez elle revoir son père, mais sa grossesse n'était qu'une fausse alerte. La mort dans l'âme, Pookie monte dans sa petite voiture et disparaît. Elle disparaît même si bien que, lorsque Jerry téléphone à son collège pour la retrouver, on lui annonce qu'elle est partie sans laisser d'adresse. Il aura l'idée de la rejoindre dans le motel de leurs premières amours, et c'est une Pookie en larmes, désarmée, passive qu'il revoit, ne sachant trop au fond quoi lui dire. Leur amour n'a pas d'avenir possible. L'un et l'autre le sentent bien. Et Jerry reconduit Pookie au bus qui la ramènera chez elle, dans sa petite ville natale.
© Les fiches du cinéma 2003
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 11 septembre 1968