Générique technique

Réalisateur	Nicholas Ray
Réalisateur seconde équipe	Noël Howard
Réalisateur seconde équipe	Sumner Williams
Assistant réalisateur	Carlo Lastricati
Assistant réalisateur	José López Rodero
Assistant réalisateur	José María Ochoa
Assistant réalisateur	Simon Mizrahi	non crédité
Assistant réalisateur	Julio Sempere	non crédité
Scénariste	Philip Yordan
Auteur du commentaire	Ray Bradbury	non crédité
Société de production	MGM - Metro-Goldwyn-Mayer
Producteur	Samuel Bronston
Producteur associé	Alan Brown
Producteur associé	Jaime Prades
Distributeur d'origine	MGM - Metro-Goldwyn-Mayer France
Directeur de la photographie	Milton R. Krasner
Directeur de la photographie	Manuel Berenguer
Directeur de la photographie	Frank F Planer
Ingénieur du son	Franklin Milton	supervision
Ingénieur du son	Basil Fenton-Smith
Compositeur de la musique originale	Miklós Rózsa
Chorégraphe	Betty Utey	pour la danse de Salomé
Décorateur	Enrique Alarcón
Décorateur	Georges Wakhevitch
Costumier	Georges Wakhevitch
Costumier	Eric Seelig	supervision
Maquilleur	Charles Parker
Maquilleur	Mario Van Riel
Coiffeur	Anna Cristofani
Monteur	Harold F. Kress
Monteur	Renée Lichtig	non créditée
Coordinateur des effets spéciaux	Alex C. Weldon
Coordinateur des effets spéciaux	Fernando Pérez
Coordinateur des effets visuels	Lee LeBlanc
Cascadeur	Frank Howard
Cascadeur	Miguel Pedregosa
Cascadeur	Terry Yorke
Conseiller technique	Agnes Moorehead	coach pour les dialogues - non créditée
Photographe de plateau	Federico G. Grau

générique artistique

Jeffrey Hunter	(Jésus)
Siobhan McKenna	(Marie)
Hurd Hatfield	(Ponce Pilate)
Ron Randell	(Lucius)
Viveca Lindfors	(Claudia)
Rita Gam	(Hérodiade)
Carmen Sevilla	(Marie-Madeleine)
Brigid Bazlen	(Salomé)
Harry Guardino	(Barabbas)
Rip Torn	(Judas)
Frank Thring	(Hérode Antipas)
Guy Rolfe	(Caïphe)
Royal Dano	(Pierre)
Robert Ryan	(Jean-Baptiste)
Edric Connor	(Balthazar)
Maurice Marsac	(Nicodème)
Grégoire Aslan	(Hérode)
George Coulouris	(le chamelier)
Conrado San Martín	(Pompée)
Gérard Tichy	(Joseph)
José Antonio	(Jean)
Luis Prendes	(le bon larron et un soldat romain)
David Davies	(l'homme robuste)
José Nieto	(Gaspard)
Rubén Rojo	(Matthieu)
Fernando Sancho	(le possédé)
Michael Wager	(Thomas)
Félix de Pomés	(Joseph d'Arimathie)
Adriano Rimoldi	(Melchior)
Barry Keegan	(le mauvais larron)
Rafael Luis Calvo	(Simon de Cyrène)
Tino Barrero	(André)
Francisco Moran	(l'aveugle)
Frank Braña	(un soldat romain et un homme de Barabbas)
Cris Huerta	(un rebelle juif)
John Kerr	(un homme lors du sermon sur la montagne)
Paul Naschy	(un serviteur d'Hérode Antipas et un soldat romain)
Aldo Sambrell	(un soldat de Judée)
Bud Strait	(Jean)
Ray Milland	(la voix originale de Satan)
Orson Welles	(la voix originale du narrateur)

Bibliographie

Périodiques

• Cinema n° 252, décembre 1979
• Cinema n° 64, mars 1962
• Cinematographe n° 52, novembre 1979
• Ecran n° 12, février 1973
• Image et Son - La Revue du Cinema n° 149, mars 1962
• Image et Son - La Revue du Cinema n° 179, décembre 1964
• Image et Son - La Revue du Cinema n° Saison 62, fiche Saison cinématographique, décembre 1962

Synopsis

Le film commence avec l'occupation de la Palestine par les Romains. Nous assistons à la naissance de Jésus à Bethléem, à la fuite en Egypte, à l'adoration des mages, au massacre des innocents, à la vie à Nazareth, au séjour de Jésus au désert et à la triple tentation à la vie publique, miracles, prédication, scène de la femme adultère, le discours sur la montagne, puis la Cène, l'arrestation au Jardin des Oliviers, le chemin du Calvaire, la crucifixion, et après la résurrection, la rencontre avec Marie-Madeleine et avec les disciples en Galilée. Trois épisodes retiendront particulièrement l'attention par l'originalité avec laguelle ils ont été traités. Le Sermon sur la montagne. Jésus se déplace dans la foule pour entendre les questions et faire entendre les réponses. Ainsi comprend-on qu'Il ait pu atteindre des milliers de personnes rassemblées autour de sa personne et dialoguer avec elles suivant le mode d'enseignement usité à l'époque. La Cène : Nicholas Ray veut donner au public l'impression que cela se passe vraiment pour la première fois sous ses yeux. Il veut par ailleurs que Jésus puisse, après avoir rompu le pain, le tendre à tout le monde autour de la table. Symboliquement il ébauche une croix à la tête de laquelle il place Jésus. Pour ces raisons, Nicholas Ray s'est refusé à copier n'importe quel tableau connu. Le Jugement de Jésus par Pilate est improvisé sur une terrasse, hors des appartements du Procurateur, pour donner plus de force dramatique à la silhouette de Jésus, seul, abandonné, perdu d'avance.
© Les fiches du cinéma 2003