Spanish Affair (1956) Don Siegel, Luis Marquina Pichot

Flamenco

Pays de productionEtats-Unis ; Italie
Sortie en France25 octobre 1957
Procédé image35 mm - Couleur
Durée95 mn
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Générique technique

RéalisateurDon Siegel
RéalisateurLuis Marquina Pichot
Réalisateur seconde équipeFrancisco Day
Assistant réalisateurHenry E. Brill
ScénaristeRichard Collins
Société de production Nomad Productions
Société de production C.E.A. (Madrid)
ProducteurBruce Odlum
Distributeur d'origine Paramount Films
Directeur de la photographieSam Leavitt
Ingénieur du sonHarry Lindgren
Ingénieur du sonWinston Leverett
Compositeur de la musique originaleDaniele Amfitheatrof
Auteur des chansons originalesMack David"The Flaming Rose"
Compositeur des chansons originalesDaniele Amfitheatrof"The Flaming Rose"
Directeur artistiqueHal Pereira
Directeur artistiqueTambi Larsen
CostumierPedro Rodriguez
MonteurTom McAdoo
Coordinateur des effets visuelsJohn P. Fulton

générique artistique

Richard Kiley(Merritt Blake)
Carmen Sevilla(Mari Zarubia)
José Guardiola(Antonio)
Jesús Tordesillas(Carlos Sotelo)
José Marco Davó(le père de Mari)
José Manuel Martín(Fernando)
Francisco Bernal(le serveur)
Purita Vargas(Purita)
Antonio Amaya(Miguel)
Rafael Farina(le chanteur de flamenco)
Julio Peña(Oliva)
José Nieto(Joaquin)

Bibliographie

Synopsis

A son arrivée à l'aéroport de Madrid, l'architecte américain Michael Blake est accueilli par la charmante Mari Zambia, secrétaire de Sotelo, représentant à Madrid d'une importante firme hôtelière. Michael a conçu les plans d'un nouvel hôtel mais il apprend par Sotelo que ses plans, juger beaucoup trop modernes pour la vieille Espagne, sont refusés. Le seul recours de Michael est d'essayer de convaincre individuellement chacun des importants personnages et Sotelo demande à sa secrétaire Mari d'accompagner l'architecte américain au cours d'un voyage rapide, qui devra être terminé en trois jours, Michael étant attendu à New York à la fin de la semaine. Mari accepte d'être le cicerone de Michael mais, pour ce faire, elle passe outre la volonté d'un gitan, Antonio, auquel sa mère l'a fiancée alors qu'elle n'était encore qu'une enfant et qu'elle craint de ne pas aimer. Tandis que l'auto, conduite par Michael, les emporte à travers la sauvage campagne espagnole, Antonio les suit et sa présence menaçante inquiète la jeune fille qui doit en avertir son compagnon de voyage. A Barcelone, après une halte qui leur permet d'assister aux danses pittoresques, Mari explique à Michael les difficultés inhérentes à sa double origine : gitane et espagnole. Le voyage, poursuivi avec plus ou moins de succès sur le plan des affaires, transforme en amour l'amitié des voyageurs. Mari apprend que Michael, veuf depuis deux ans, fidèle au souvenir de sa femme, vient de renoncer à sa solitude. Après une terrible lutte Antonio, comprenant que la promesse qui le liait à Mari est rompue, s'enfuit. Mari, éprise du jeune architecte américain, goûte la joie paisible d'une union qui sera plus conforme à ses aspirations.
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