Les Aveux les plus doux (1970) Edouard Molinaro

Pays de productionFrance ; Algérie ; Italie
Sortie en France19 mai 1971
Procédé image35 mm - Couleur
Durée95 mn
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Générique technique

RéalisateurEdouard Molinaro
Assistant réalisateurNadir Mohamed Azzizi
Assistant réalisateurNoé Paganotti
ScénaristeJean-François Hauduroy
ScénaristeEdouard Molinaro
Auteur de l'oeuvre originaleGeorges Arnaudd'après la pièce "Les Aveux les plus doux"
DialoguisteJean-François Hauduroy
DialoguisteEdouard Molinaro
Société de production Progéfi - Production Générale de Films (Paris)
Société de production Trianon Films
Société de production ONCIC - Office National Commerce Industrie Cinéma (Alger)
Société de production O.A.A.
Société de production Ultra Film (Roma)
ProducteurChristine Gouze-Rénal
Directeur de productionPierre Laurent
Directeur de productionBachir Hanifi
Distributeur d'origine MGM - Metro-Goldwyn-Mayer
Directeur de la photographieRaoul Coutard
CadreurGeorges Liron
Ingénieur du sonDahmane Sidi Boumedienne
Compositeur de la musique originaleGeorges Delerue
DécorateurMohamed Boudjema
MonteurRobert Isnardon
MonteurMonique Isnardon
ScriptMonique Herran
RégisseurMustapha Bellil

générique artistique

Marc Porel(Jean Dubreuil)
Caroline Cellier(Catherine)
Philippe Noiret(l'inspecteur Muller)
Roger Hanin(l'inspecteur Borelli)
Gérard Landry(Lopez)
Hassan Hassani(l'huissier)
Adobati(le maire)
Pierre Couderc(Thomas)
Rachid Merabtine(Carl)
Léa Nanni(Elsa)
Rais Abd El Halim(le patron du café-tabac)
Nourredine Agoulmine(le jeune policier)
Gravouille(l'adjoint au maire)
Raymond Louzoum(Henri le Costaud)
Madame Sauer(Linda)
Enzo Fiermonte
Jean-Pierre Garrigues
Arezki Nebti

Bibliographie

Synopsis

Lopez, le patron du cirque, reconnut formellement la photo du garçon qui l'avait menacé dans le noir de la roulotte, alors qu'il s'apprêtait à y déposer la recette de la soirée. Les inspecteurs Muller et Borelli arrêtèrent Jean Dubreuil, un récidiviste, fiché pour menus larcins. L'affaire était cette fois autrement plus grave, puisqu'un employé du cirque était mort des suites de ses blessures. Jean nia. Muller, puis Borelli, questionnèrent Catherine, la fiancée de Jean. Elle nia également. Comme la série d'interrogatoires violents s'avéraient infructueux, Borelli eut une idée : il fallait que Catherine épousât Jean. D'abord interdits et méfiants, les jeunes gens acceptèrent. Après la cérémonie, malgré leur promesse de laisser pour un temps ensemble les jeunes mariés, Borelli et Muller, patelins et sadiques, instaurèrent un effroyable jeu du chat et de la souris en excitant et en humiliant leurs victimes. Jean, à bout de nerfs, accepta de se reconnaître coupable, afin de gagner, par ses aveux, les moments les plus doux qu'on lui faisait miroiter, Mais il fallait à Muller et à Borelli le nom de ses complices. Jean résista. Après des heures d'humiliations, le jeune homme, roué de coups, à la dignité soudain révélée dans la plus grande misère, retourna en prison. Les inspecteurs quittèrent la mairie, fâchés de ce demi-échec. Et, restée seule, Catherine, sans doute pour provoquer une enquête, s'ouvrit les veines.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 09 novembre 1970
Fin : 10 janvier 1971

Lieux de tournage