Générique technique

Réalisateur	Fernandel
Collaborateur à la réalisation	François Gir
Assistant réalisateur	Georges Lautner
Scénariste	Sacha Guitry
Dialoguiste	Sacha Guitry
Société de production	Indusfilms (Paris)
Producteur	Henri Bérard
Directeur de production	François Carron
Distributeur d'origine	Les Films Corona (Paris)
Directeur de la photographie	Noël Ramettre
Cadreur	Paul Soulignac
Cadreur	Marcel Franchi
Ingénieur du son	Joseph de Bretagne
Compositeur de la musique originale	Louiguy
Auteur des chansons originales	Sacha Guitry
Décorateur	Eugène Piérac
Maquilleur	Georges Klein
Maquilleur	Louis Louc
Monteur	Raymond Lamy
Script	Denise Morlot
Régisseur	Eugène Nase
Photographe de plateau	Robert Tomatis

générique artistique

Fernandel	(Adhémar Pomme)
Andrex	(Tisalé)
Marguerite Pierry	(Lady Braconfield)
Marcel Lévesque	(Brunel-Lacaze)
Jacqueline Pagnol	(la marchande de fleurs)
Meg Lemonnier	(l'infirmière)
Bernadette Lange	(Clémentine)
Jacques de Féraudy	(le marquis de Saltarello)
Maximilienne	(la soeur du marquis)
Alexandre Arnaudy	(le ministre)
José Noguero	(Don Cristobal)
Primerose Perret	(la bonne de l'hôtel)
Sophie Mallet	(la bonne de l'asile)
Georges Bever	(l'homme à la tête de cocu)
Emma Lyonel	(la femme aux tics)
Albert Duvaleix	(l'employé du casino)
Jean Hervé	(le premier tragédien)
Robert Vidalin	(le second tragédien)
Lucien Callamand	(le régisseur)
Louise Lagrange	(la secrétaire)
Robert Seller	(le président du conseil)
Maurice Bénard	(un membre du conseil)
Roger Monteaux	(un membre du conseil)
Nicolas Amato	(le commissaire des jeux)
Maurice Régamey	(le barbu)
Henry Houry	(un voyageur)
Noël Darzal
Jean-Claude Méral
André Pollack
Annie Ravel
Jacques Sablon

Bibliographie

Synopsis

Un banquier a fondé un refuge pour les déshérités physiques. Il charge son conseil de trier les candidats. Adhémar Pomme, dernier candidat, raconte sa vie. Il se dit le jouet de la fatalité, car il fait rire tout le monde. A l'école comme au service militaire, ce « don » lui valait déjà maints désagréments, tout en désarmant parfois maîtres et gradés. Plus tard, son ami, Tisalé, réussit à lui procurer des emplois. Dans les Pompes Funèbres, il réussit à faire rire toute l'assistance, lors de la première et dernière de ses inhumations. Comme souffleur, il réussit à mettre la perturbation dans le théâtre. Seule une princesse veuve n'arriva jamais à se dérider, bien qu'il fut le sosie de son défunt mari, qui avait le don de la faire rire. Et là encore, il perdit son emploi. Admis au refuge, il en est chassé parce que, pour la première fois, ce sont les autres (avec leurs disgrâces physiques) qui réussirent à le faire rire. Et il trouve enfin sa voie, dans un cirque.
© Les fiches du cinéma 2001