Cent francs par seconde (1952) Jean Boyer

Pays de productionFrance
Sortie en France 1953
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Générique technique

RéalisateurJean Boyer
Assistant réalisateurJean Bastia
ScénaristeJean-Jacques Vital
AdaptateurJean Boyer
DialoguisteSerge Véber
Société de production Simoja
ProducteurJean Boyer
ProducteurJean-Jacques Vital
Directeur de productionWalter Rupp
Distributeur d'origine Pathé Consortium Cinéma
Directeur de la photographieCharles Suin
Ingénieur du sonAntoine Archimbaud
Compositeur de la musique originaleHenri Betti
DécorateurRobert Giordani
MaquilleurJean Ulysse
MonteurFanchette Mazin
ScriptCécilia Malbois
RégisseurAndré Guillot
Photographe de plateauEmmanuel Lowenthal

générique artistique

Philippe Lemaire(Philippe)
Geneviève Kervine(Jacqueline)
Henri Génès(Fernand)
Jeannette Batti(Louloute)
Alfred Pasquali(Bourdinet)
Jean-Jacques Vital(l'animateur)
Gaston Orbal(le secrétaire)
Nicolas Amato(le directeur)
Jacques Eyser(le fakir)
Marcel Charvey(le mécanicien)
André Carnège(un actionnaire)
Emile Genevois(le camelot)
Luc Andrieux(le mauvais garçon)
Robert Lombard(Roland)
Roger Vincent(un actionnaire)
Bourvil
Monique Defrançois
Marcel Loche
Emile Morel
Jacques Morlaine
Monsieur Champagne
André Gillois
Charles Rigoulot
Ray Ventura

Bibliographie

Synopsis

Fernand s'acharne, sans grand succès, à gagner l'émission radio-phonique Cent francs par seconde. En désespoir de cause, il imagine de faire concourir un fakir à sa place. Mais il prend un jeune homme, Philippe, pour le fakir et l'engage. Philippe accepte car il veut se venger de Monsieur Bardinet, dont la fille Jacqueline a provoqué son renvoi de la fabrique d'apéritifs qui commandite l'émission. Jean-Jacques Vital, sur les directives de M. Bardinet, lui pose une question difficile qui reste sans réponse et vaut à Philippe un coup sur la tête. Ce coup développe en lui un don de voyance qui permet au jeune homme de répondre brillamment. Il tient ainsi pendant deux jours et risque de ruiner Bardinet. Finalement, par amour pour Jacqueline et non sans nouvelles péripéties (second coup sur la tête, perte de son don, etc.), il s'arrange pour tout perdre, mais en revanche gagne la main de la jeune fille.
© Les fiches du cinéma 2001
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