Générique technique

Réalisateur	André Berthomieu
Assistant réalisateur	Raymond Bailly
Scénariste	Julien Duvivier
Adaptateur	André Berthomieu
Adaptateur	Maurice Barry
Adaptateur	Dominique Nohain
Dialoguiste	Paul Vandenberghe
Société de production	Les Productions du Cygne
Directeur de production	François Carron
Distributeur d'origine	Société des Films Sirius (Paris)
Directeur de la photographie	Jean Bachelet
Cadreur	Pierre Lebon
Ingénieur du son	Paul Boistelle
Compositeur de la musique originale	Paul Misraki
Auteur des chansons originales	André Hornez
Décorateur	Robert Gys
Costumier	Jacques Costet	pour les robes
Maquilleur	René Daudin
Monteur	Henri Taverna
Script	Sonia Bunodière
Régisseur	Georges Charlot
Coordinateur des effets spéciaux	Nicolas Wilcke
Photographe de plateau	Gaston Thonnart

générique artistique

Jean Desailly	(Jean Pelletier)
Gisèle Pascal	(Micheline)
Gérard Néry	(Pierre de Baucour)
Charles Dechamps	(le comte de Coeur-Joly)
Jacques Louvigny	(Pacoulin)
Catherine Erard	(Yolande de Coeur-Joly)
Alice Tissot	(Tante Ursule)
Henri Crémieux	(Mathieu)
Dominique Nohain	(Etienne)
Bernard La Jarrige	(Martin)
Janine Mareil	(Angèle)
Robert Rollis	(Robinot)
Jacques Vetter	(Bouboule)
Paul Faivre	(Saturnin)
Jean Berton	(Gouttenoire)
Harry-Max	(le chef d'orchestre)
Jean Sylvère	(un surveillant)
Bernard Basset
Jane Beretta
Bernard Crouet

Bibliographie

Périodiques

• SARTER (René), Ciné-miroir, n° 848, 25/07/1947.
• SARTER (René), Ciné-miroir, n° 849, 01/08/1947.
• SARTER (René), Ciné-miroir, n° 850, 08/08/1947.
• SARTER (René), Ciné-miroir, n° 851, 15/08/1947.
• SARTER (René), Ciné-miroir, n° 852, 22/08/1947.
• SARTER (René), Ciné-miroir, n° 853, 29/08/1947.
• SARTER (René), Ciné-miroir, n° 854, 05/09/1947.

Synopsis

Au collège de Saint-Amour, Pierre, Etienne et Martin, trois grands, ont remarqué, au concert municipal, une jeune fille délicieuse, Madeleine, qu'ils prennent pour la fille du comte de Coeurjoli. Il ne s'agit, en fait, que de la demoiselle de compagnie de Yolande de Coeurjoli, que son père garde jalousement enfermée. Or, Madeleine est fiancée à Jean Pelletier, surveillant au collège. Martin écrit anonymement au comte que sa fille se compromet avec un « pion ». Madeleine avoue que c'est d'elle qu'il s'agit et perd sa place. Pelletier perd la sienne à son tour. Mais tout rentre dans l'ordre le dimanche suivant : Pelletier est réintégré, Madeleine dotée et Pierre de Beaucourt agréé comme candidat à la main de Yolande.
© Les fiches du cinéma 2001