Générique technique

Réalisateur	Alfred Hitchcock
Assistant réalisateur	Don Page
Scénariste	George Tabori
Scénariste	William Archibald
Auteur de l'oeuvre originale	Paul Anthelme	d'après la pièce de théâtre "Nos deux consciences"
Société de production	Warner Bros.
Producteur	Alfred Hitchcock
Producteur associé	Barbara Keon
Distributeur d'origine	Warner Bros.
Directeur de la photographie	Robert Burks
Ingénieur du son	Oliver S. Garretson
Compositeur de la musique originale	Dimitri Tiomkin
Directeur artistique	Edward S. Haworth
Décorateur	George James Hopkins
Costumier	Orry-Kelly
Maquilleur	Gordon Bau
Monteur	Rudi Fehr
Conseiller technique	Paul La Couline
Conseiller technique	Oliver Tangvay

générique artistique

Montgomery Clift	(le père Michael Logan)
Anne Baxter	(Ruth Grandfort)
Karl Malden	(l'inspecteur Larrue)
Brian Aherne	(Willy Robertson)
O.E. Hasse	(Otto Keller)
Roger Dann	(Pierre Grandfort)
Dolly Haas	(Alma Keller)
Charles André	(le père Millais)
Judson Pratt	(Murphy)
Ovila Légaré	(Vilette)
Gilles Pelletier	(le père Benoît)
Nan Boardman	(la domestique)
Henry Corden	(Farouche)
Carmen Gingras	(la première jeune fille française)
Renee Hudson	(la seconde jeune fille française)
Albert Godderis	(le veilleur de nuit)
Alfred Hitchcock	(l'homme qui passe en haut de l'escalier)

Bibliographie

Périodiques

• Amis du film et de la TV, n° 103, décembre 1964
• Cahiers du cinéma (Les), n° 26, août-septembre 1953
• Ciné miroir, n° 974, 9 juillet 1953
• Ciné miroir, n° 976, 23 juillet 1953
• Cinema canada, n° 116, mars 1985
• Filmcritica, n° 311, janvier 1981
• Radio cinéma télévision, n° 383, 19 mai 1957

Synopsis

Déguisé en prêtre, le bedeau d'une paroisse de Québec a tué un agent d'affaires qu'il ne voulait que voler. Rentré à l'Eglise et surpris par un vicaire, il prend le parti de se confesser, sans doute pour lier le prêtre par le secret de la confession. Or, ce prêtre est impliqué dans l'affaire car, dix ans auparavant, il avait été amoureux d'une jeune femme que la victime avait menacé de chantage. C'est la déposition de cette femme qui donne un alibi au prêtre, mais il est insuffisant jusqu'au moment où la femme du bedeau, devant la rage de la foule accusant le prêtre, se décide à parler. L'assassin la tue avant qu'elle ait pu mettre son désir à exécution. Lui-même traqué finit par avouer dans une crise de demi-folie.
© Les fiches du cinéma 2003