Csillagosok katonak (1967) Miklós Jancsó

Rouges et blancs

Pays de productionHongrie ; URSS
Sortie en France30 août 1968
Procédé image35 mm - NB
Durée90 mn
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Générique technique

RéalisateurMiklós Jancsó
Assistant réalisateurLilja Kelstein
Assistant réalisateurZsolt Kezdi-Kovacs
ScénaristeGyula Hernádi
ScénaristeMiklós Jancsó
ScénaristeLuca Karall
ScénaristeValeri Karen
ScénaristeGiorgi Mdivani
Société de production Mafilm (Budapest)
Société de production Mosfilm (Moscou)
ProducteurJenõ Götz
ProducteurAndrás Németh
ProducteurKirill Sirjajev
Directeur de la photographieTamás Somló
CadreurTibor Banok
CadreurJános Kende
Ingénieur du sonZoltán Toldy
DécorateurAnatoli Burdo
DécorateurFerenc Kopp
CostumierMaya Abar-Baranovskaia
CostumierGyula Várdai
MonteurZoltán Farkas

générique artistique

József Madaras(le commandant Hongrois)
Tibor Molnár(Andras)
András Kozák(Laszlo)
Jácint Juhász(Istvan)
Anatoli Yabbarov(le captaine Chelpanov)
Sergey Nikonenko(l'officier cosaque)
Mikhail Kozakov(Nestor)
Krystyna Mikolajewska(Chingiz)
Gleb Strizhenov(Yelizaveta)
Nikita Mikhalkov(Olga)
Vera Bykova-Pizhel
Valeri Glebov
Pyotr Savin
Nikolay Sergeev
Sándor Szili
Károly Eisler
Mika Ardova
Gabi Daniel
Yelena Kozelkova
Nina Shorina
Yuliya Tsoglin

Bibliographie

Synopsis

L'action se déroule en Russie dans les années 1917-1920. Les gardes blancs ont momentanément repris l'avantage, mais ils se prennent un peu trop théâtralement au sérieux. Ils semblent se battre comme des fantômes pour des chimères, dans l'enclos d'un monastère désaffecté. Ils ont réussi à traquer puis à capturer une compagnie de gardes rouges parmi lesquels se trouvent des Hongrois. Le colonel des Gardes Blancs estime que le conflit est une lutte entre Russes et que les Hongrois n'ont rien à voir dans ces événements. Il humilie ces « étrangers » en leur rétirant complètement leurs vêtements et en leur donnant un quart d'heure pour s'enfuir. Les Hongrois fuient mais le système de défense du monastère est organisé de telle sorte qu'ils sont pris comme dans une souricière. On les abat. Quelques fugitifs ont cependant réussi à franchir une issue et ils trouvent un refuge inattendu et précaire dans un étrange hôpital de campagne contrôlé, par les Blancs. Ceux-ci voudraient retrouver leurs proies ; les infirmières interrogées déclarent qu'elles ne connaissent ni Blancs, ni Rouges mais uniquement des hommes qui souffrent. L'une d'entre elles, cependant, soumise à un traitement cruel, révèle quels sont les Rouges parmi les Hongrois. Les Blancs commencent à les exécuter sauvagement mais une compagnie de résistants Rouges survient et ce sont les Blancs qui sont abattus. La, guerre continue. Le détachement des soldats rouges dont les Hongrois font partie doit soutenir un combat désespérément inégal. Ils affrontent malgré tout l'armée blanche et sont décimés ; tous périssent à l'exception d'un seul, Lazio, qui décide de continuer la lutte.
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