Soft Beds, Hard Battles (1973) Roy Boulting

En voiture Simone !

Pays de productionGrande-Bretagne
Sortie en France29 juin 1977
Procédé image35 mm - Couleur
Durée107 mn
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Générique technique

RéalisateurRoy Boulting
Assistant réalisateurDavis Munro
ScénaristeRoy Boulting
ScénaristeLeo Marks
ScénaristeMaurice Moiseiwitsch
Société de production Charter Film Productions (London)
ProducteurJohn Boulting
ProducteurRoy Boulting
Producteur associéJohn Palmer
Directeur de productionTerence Clegg
Directeur de la photographieGilbert Taylor
CadreurGerry Anstiss
Ingénieur du sonKen Ritchie
Directeur artistiqueJohn Howell
DécorateurPatrick McLoughlin
CostumierBridget Sellers
MaquilleurStuart Freeborn
CoiffeurJoan Carpenter
MonteurMartin Charles
Directeur de castingThelma Graves

générique artistique

Peter Sellers(le général Latour/Major Robinson/Herr Schroeder/Adolf Hitler/Le Président/le prince Kyoto
Lila Kedrova(Madame Grenier)
Curd Jürgens(le général von Grotjahn)
Béatrice Romand(Marie-Claude)
Jenny Hanley(Michelle)
Gabriella Licudi(Simone)
Françoise Pascal(Madeleine)
Rex Stallings(Alan Cassidy)
Rula Lenska(Louise)
Daphne Lawson(Claudine)
Vernon Dobtcheff(Padre)
Douglas Sheldon(le capitaine Kneff)
Thorley Walters(le général Erhardt)
Timothy West(Chaplain)
Jean Driant(Jean)
Philip Madoc(Weber)
Patricia Burke(la mère supérieure)
Basil Dignam(un brigadier)
Nicholas Loukes(Schultz)
Stanley Lebor(un agent de la gestapo)
Gertan Klauber(un agent de la gestapo)
Barry J. Gordon(un agent de la gestapo)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Aux premiers jours de l'occupation, Madame Grenier dirige toujours sa célèbre maison close qui a fait sa réputation et sa notoriété. Le régime a changé, mais pas les hommes : Madame Grenier s'est donc adaptée sans trop de mal au changement d'uniformes ainsi que tout son personnel. Tout irait pour le mieux si un major anglais, Robinson, ne venait troubler la quiétude de l'endroit par des manifestations aussi bruyantes que meurtrières à l'égard de l'occupant. Plusieurs officiers allemands sont ainsi abattus et malgré les efforts et la perspicacité de la Gestapo, le coupable n'est pas inquiété. Voyant tout le parti que l'on peut tirer d'une telle maison, la Résistance contacte Madame Grenier et lui impose une collaboration franche, en échange de quoi elle est faite colonel. L'endroit devient alors aussi peu sûr que le front malgré la visite impromptue du Fùhrer et les nombreuses descentes de la police allemande et de son terrible chef, aussi suspicieux que tenace. Ce n'est que privée de tout son réseau de protections que Madame Grenier consent à quitter Paris avec son personnel pour se réfugier dans un couvent. Là, déguisées en nonnes, les filles parviendront à immobiliser un convoi allemand ainsi qu'un prince japonais, avant de regagner Paris et de sauver la capitale de la destruction grâce à une périlleuse opération de commando qui vaudra à chacune d'entre elles, et à Madame Grenier en particulier, d'être décorées à la Libération.
© Les fiches du cinéma 2003
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 16 avril 1973