Sursis pour un vivant (1958) Victor Merenda

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France08 avril 1959
Procédé image35 mm - NB
Durée88 mn
DistributeurEurociné (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurVictor Merenda
Auteur de l'oeuvre originaleAndré Mauroisd'après la nouvelle "Thanatos Palace Hotel"
AdaptateurFrédéric Dard
DialoguisteFrédéric Dard
Société de production C.C.C. - Compagnie Continentale Cinématographique
Société de production Méditerranée Cinéma Productions (Paris)
Société de production Arbe Film
Société de production Nepi Film (Roma)
Société de production Sopadec - Société Parisienne d'Etudes Cinématographiques
ProducteurMarius Lesoeur
Producteur associéGeorges Cheyko
Directeur de productionRoger Péré
Distributeur d'origine Jeannic Films
Directeur de la photographieQuinto Albicocco
Ingénieur du sonJacques Lebreton
Compositeur de la musique originaleDaniel White
DécorateurIvo Battelli
MonteurGeorges Arnstam
RégisseurAndré Baud

générique artistique

Henri Vidal(Jean Monnier)
Dawn Addams(Nadia Rakesy)
Lino Ventura(Borcher, le directeur de la pension Edelweiss)
John Kitzmiller(Bougron, le domestique)
Howard Vernon(le général Funck)
Lauretta Masiero(Antonella)
Silvio Bagolini(Thanatos, le démarcheur)
Marco Guglielmi(le peintre Rinchet)
Fortunia(Mademoiselle Orsay)
Benedetta Rutili(Rosine)
Giacomo Furia(Dagroni, le ténor)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Jean Monnier, auteur dramatique qui a failli se tuer sur la route, reçoit la visite de M. Thanatos qui lui explique qu'il a une recette pour se suicider convenablement. Monnier fait semblant d'être un suicidé raté, accepte le contrat et est envoyé dans une station de montagne, au bout d'un télébenne, à la pension « Les Edelweiss ». Six pensionnaires et deux domestiques sont sous les ordres du propriétaire, Borcher. Quant Borcher joue au piano un air de sa façon, on sait qu'un pensionnaire mourra dans la nuit ; on ne sait comment ils disparaissent. Après le peintre raté, le ténor malheureux, le général nazi, la femme de lettres ruinée, Monnier se retrouve seul avec Nadia Rakesy qui le supplie de la sortir des portes de la mort. Mais Borcher et ses deux domestiques empêchent toute évasion. C'est seulement par un hasard quasi miraculeux que Monnier réussit à prendre dans la poche de Borcher endormi la clef du télébenne et à ramener à Paris Nadia dont il est amoureux. Borcher a retrouvé sa trace et réussi à récupérer Nadia. Monnier les rejoint tous deux à la pension « Les Edelweiss » et découvre qu'il a vécu un scénario bien monté, où il n'y a aucune victime et qui a pour but de réconcilier avec la vie les gens tentés de se suicider.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 20 mars 1958
Fin : 15 mai 1958