Le Coppie : Il frigorifero (1970) Mario Monicelli

Drôles de couples : Le Réfrigérateur

Pays de productionItalie
Sortie en France17 décembre 1980
Procédé image35 mm - Couleur
>> Rechercher "Le Coppie : Il frigorifero" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurMario Monicelli
Assistant réalisateurMario Forges Davanzati
ScénaristeRuggero Maccari
ScénaristeRodolfo Sonego
ScénaristeStefano Strucchi
Auteur de l'oeuvre originaleRuggero Maccarid'après un sujet
Auteur de l'oeuvre originaleRodolfo Sonegod'après un sujet
Auteur de l'oeuvre originaleStefano Strucchid'après un sujet
Société de production Documento Film (Roma)
ProducteurGianni Hecht Lucari
Producteur déléguéFausto Saraceni
Directeur de productionCarlo Bartolini
Directeur de productionRenato Jaboni
Distributeur d'origine Les Films Galatée
Directeur de la photographieCarlo Di Palma
CadreurAlberto Spagnoli
Ingénieur du sonMassimo Loffredi
MixeurMario Amari
Compositeur de la musique originaleEnzo Jannacci
Créateur des décorsGiulio Coltellacci
CostumierLucia Mirisola
MonteurRuggero Mastroianni
ScriptCarlo Vanzina

générique artistique

Monica Vitti(Adele)
Enzo Jannacci(Gavino Puddu)

Bibliographie

Synopsis

1. Le réfrigérateur. Ils ne possèdent vraiment rien, ces deux-là, Gavino et Adèle. Immigrés dans leur propre pays, lui vend de misérables gâteaux aux coins des rues, tandis qu'elle fait des ménages. Rien qui, là-dedans, permette de vivre dans le confort. Pourtant, ils ont acheté à tempérament un énorme réfrigérateur, désespérément vide d'ailleurs. Et les traites pour finir de le payer tombent comme un couperet toutes les fins de mois. Comment payer Adèle implore sans succès la famille, avant de se résoudre, in fine, à faire, l'espace d'un moment, le trottoir. Hésitante, craintive, sous le regard pitoyable de Gavino, elle essaye de séduire le passant. Elle parvient à ses fins et tous deux s'en vont payer la dernière traite. Non sans faire du lèche-vitrine devant une merveilleuse machine à laver qui leur tend les bras.|#2. La chambre. Pour fêter leurs noces d'argent, Giacinto et Erminia décident de faire la tournée des grands-ducs en Sardaigne. Mais voilà, ce sont des ouvriers et ils détonent parmi la «jet society ». Ce n'est guère qu'à contre-coeur que les hôteliers leur donnent une chambre quand ils ne s'emploient pas illico à les dissuader. Il faut dire que leurs manières sont assez rustres, et leur mise plutôt tape-à-l'oeil. Chassés d'hôtel de luxe en hôtel de luxe, ils finissent par bénéficier d'une chambre dans un palace. Menacés d'en être une fois de plus évincés par plus fortunés qu'eux, ils se mettent en colère. Une bagarre se déclenche : c'est dans une prison qu'ils trouvent enfin un lit pour dormir.
© Les fiches du cinéma 2003
Logo

Exploitation