Générique technique

Réalisateur	Federico Fellini
Assistant réalisateur	Maurizio Mein
Assistant réalisateur	Liliana Betti
Assistant réalisateur	Gérald Morin
Assistant réalisateur	Mario Garriba
Scénariste	Federico Fellini
Scénariste	Tonino Guerra
Auteur de l'oeuvre originale	Tonino Guerra
Auteur de l'oeuvre originale	Federico Fellini
Dialoguiste	Federico Fellini
Dialoguiste	Tonino Guerra
Société de production	F.C. Produzioni (Roma)
Société de production	P.E.C.F. - Productions et Éditions Cinématographiques Françaises (Paris)
Producteur	Franco Cristaldi
Directeur de production	Lamberto Pippia
Distributeur d'origine	Warner Bros.
Directeur de la photographie	Giuseppe Rotunno
Cadreur	Giuseppe Maccari
Ingénieur du son	Oscar De Arcangelis
Compositeur de la musique originale	Nino Rota
Directeur artistique	Giorgio Giovannini
Décorateur	Federico Fellini
Décorateur	Danilo Donati
Costumier	Danilo Donati
Maquilleur	Rino Carboni
Coiffeur	Amalia Paoletti
Monteur	Ruggero Mastroianni
Script	Norma Giacchero
Coordinateur des effets spéciaux	Adriano Pischiutta
Photographe de plateau	Pierluigi Praturlon

générique artistique

Bruno Zanin	(Titta Biondi)
Pupella Maggio	(Miranda Biondi, la mère de Titta)
Armando Brancia	(Aurelio Biondi, le père de Titta)
Magali Noël	(Gradisca)
Stefano Proietti	(Oliva Biondi, le frère de Titta)
Giuseppe Ianigro	(le grand-père de Titta)
Ciccio Ingrassia	(Teo, l'oncle fou de Titta)
Nando Orfei	(Il Patacca, l'oncle de Titta)
Luigi Rossi	(l'avocat)
Gianfilippo Carcano	(Don Balosa, l'aumônier)
Josiane Tanzilli	(La Volpina, la prostituée)
Maria Antonietta Beluzzi	(la buraliste)
Carla Mora	(la bonne des Biondi)
Antonio Faà di Bruno	(le comte de Lovignano)
Carmela Eusepi	(la fille du comte de Lovignano)
Francesco Vona	(Candela)
Bruno Lenzi	(Gigliozzi)
Lino Patruno	(Bobo)
Donatella Gambini	(Aldina Cordini)
Bruno Scagnetti	(Ovo)
Alvaro Vitali	(Naso)
Fernando De Felice	(Ciccio)
Francesco Maselli	(Bongiovanni, le professeur de sciences naturelles)
Dina Adorni	(Signorina De Leonardis, la professeure de mathématiques)
Ferdinando Villella	(Fighetta, le professeur de grec)
Fides Stagni	(le professeur d'histoire de l'art)
Mauro Misul	(le professeur de philosophie)
Mario Silvestri	(le professeur d'italien)
Dante Cleri	(le professeur d'histoire)
Marcello Bonini Olas	(le professeur de gymnastique)
Francesco Magno	(Zeus, le directeur de l'école)
Gianfranco Marrocco	(le jeune comte Poltavo)
Ferruccio Brembilla	(le dignitaire fasciste)
Antonio Spaccatini	(le policier)
Aristide Caporale	(Giudizio)
Domenico Pertica	(l'aveugle de Cantarel)
Marcello Di Falco	(le prince)
Mario Liberati	(le propriétaire du cinéma)
Fiorella Magalotti	(une soeur de Gradisca)
Marina Trovalusci	(une soeur de Gradisca)
Vincenzo Caldarola	(le mendiant)
Mario Milo	(le photographe)
Mario Del Vago	(Scurèza di Corpolo)
Fredo Pistoni	(Colonia)
Fausto Signoretti	(le cocher Madonna)
Cesare Martignoni	(le premier barbier)
Mario Jovinelli	(le second barbier)
Costantino Serraino	(Gigino Penna Bianca)
Ferdinando Ho	(le Chinois)
Mario Nebolini	(le secrétaire de mairie)
Torindo Bernardi	(le prêtre)
Paolo Baroni	(un ami de Titta)
Amerigo Castrichelle	(un ami du Pataca)
Dario Giacomelli	(un ami du Pataca)
Giuseppe Papaleo	(le dandy)
Bruno Bertocci	(le mari de Gradisca)
Marco Laurentino	(le mutilé de la grande guerre)
Riccardo Satta	(le marieur)
Francesco Di Giacomo	(le gros barbu à la suite de l'émir)

Bibliographie

Ouvrages

• Amarcord : (Je me souviens) / Fellini Federico, Guerra Tonino ; trad. de l'italien par Lucile Laks. - Paris : Gallimard, 1974
• Amarcord : découpage du film / Federico Fellini ; préf. de Lo Duca ; trad. de l'italien par M.N. Nahon. - Paris : Seghers, 1974
• Amarcord : un film de Frederico Fellini / Philippe Ortoli ; rédacteur en chef Jacques Gerstenkorn. - Grenoble : Acrira ; Lyon : Université Lumière Lyon 2, 1999
• Il film "Amarcord" di Federico Fellini / a cura di Gianfranco Angelucci e Liliana Betti. - Bologna : Cappelli Ed., 1974

Périodiques

• Amis du Film et de la Télévision (Les), n° 215, avril 1974
• Avant-Scène Cinéma (L'), n° 153, décembre 1974
• Cahiers du Cinéma (Les), n° 251-252, juillet 1974
• Cinéma (Suisse), n° 2, mai 1974
• Cinéma 74, n° 187, mai 1974
• Cinématographe, n° 8, juin 1974
• Ecran 73, n° 18, septembre 1973
• Ecran 74, n° 25, mai 1974
• Ecran Lorrain (L'), n° 325, juillet 1974
• Filmcritica, n° 245, mai 1974
• Films and Filming, n° 12, septembre 1973
• Films and Filming, n° 9, juin 1974
• Films in Review, n° 9, novembre 1974
• Jeune Cinéma, n° 80, juillet 1974
• Positif, n° 158, avril 1974
• Revue du Cinéma (La) / Image & Son, n° 284, mai 1974
• Revue du Cinéma (La) / Image & Son, n° 290, novembre 1974
• Sight and Sound, n° 4, septembre 1974
• Téléciné, n° 190, juillet 1974

Sites Internet

• Etude du film. - en anglais

Synopsis

L'auteur se souvient des instants qui peuvent marquer une adolescence et se plaît à les faire revivre pour les spectateurs tout au long d'une année. Au printemps, les « manines », mystérieuse ouate légère qui vogue dans l'air, annoncent les cérémonies joyeuses à Corpolo, le petit village. La nuit du 19 mars, on fête la fin de l'hiver en brûlant tout ce qui est combustible. Bobo subit une réprimande de son père, M. Amédéo, parce qu'il veut brûler une chaise, alors que la belle Gradisca se pavane en compagnie de ses soeurs. La Volpina, femme étrange toujours en quête du mâle, subit les brutalités des fêtards. A l'école, Bobo et ses amis sont experts pour chahuter. Bobo amène aussi la zizanie chez lui ; au cours d'un repas familial, une dispute extravagante pousse son père à le poursuivre et à se quereller avec son épouse. Quand le pays organise une magnifique fête fasciste, la Gradisca n'a d'yeux que pour le Fédéral ; dans cette ambiance mirifique, Bobo rêve qu'il épouse la petite Aldina. Peu après, Amédéo est accusé d'avoir branché le haut-parleur qui diffusait le soir de la fête « L'Internationale » ; les fascistes lui font boire une quantité phénoménale d'huile de ricin. Bisein, un hâbleur original, se plaît à enjoliver l'histoire de l'Émir oriental qui a fait halte au Palace avec son harem, tandis que les garçons se rendent à la Confession. Le Padre a bien du mal à faire avouer les fautes des jeunes gens, qui procèdent avec une apparente naïveté. Il est bien difficile d'avouer des désirs, des souhaits, des envies, que l'on n'ose pas encore mettre en pratique. ou si mal ! Par exemple, Bobo arrive péniblement à approcher la Gradisca au cinéma, et se fait moquer de lui par celle-ci. Quant à ses débuts de séducteur avec la buraliste aux « avantages » impressionnants, il ne peut à vrai dire s'en glorifier. Mais cette dure expérience est bientôt effacée par la présence de Léo, l'oncle fou, que l'on croit convalescent mais qui demeure incurable, puis par la mort de sa mère. Au printemps, le mariage de la Gradisca avec le commandant des carabiniers coïncide avec le retour des « manines » et met au coeur de Bobo de nouveaux espoirs.
© Les fiches du cinéma 2003