Zahrada (1995) Martin Sulik

Le Jardin

Pays de productionRépublique Tchèque ; France
Sortie en France16 octobre 1996
Procédé image35 mm - Couleur
Durée100 mn
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Générique technique

RéalisateurMartin Sulik
ScénaristeMarek Lescak
ScénaristeOndrej Sulaj
ScénaristeMartin Sulik
Distributeur d'origine Action Gitanes
Distributeur d'origine Artcam International
Distributeur d'origine Charlie's Production
Directeur de la photographieMartin Strba
Ingénieur du sonCatherine d' Hoir
Ingénieur du sonPeter Mojzis
Compositeur de la musique originaleVladimír Godár
DécorateurFrantisek Liptak
MonteurDusan Miko

générique artistique

Marian Labuda(le père)
Roman Luknár(Jakub)
Zuzana Sulajova(Helena)
Jana Svandova(Tereza)

Bibliographie

Synopsis

> À trente ans passés, Jakub vit encore avec son père, tailleur pour dames, et il est l'amant d'une des clientes, Tereza : découvrant le pot aux roses, le père le bat comme un gamin puis l'invite impérieusement, pour se débarrasser de lui, à aller s'occuper du jardin du grand-père. Jakub va s'y installer, en pleine campagne, dans la maison délabrée entourée d'une pommeraie. Il découvre un vieux cahier où son grand-père a consigné ses souvenirs en écrivant à l'envers des pages serrées qui doivent être lues à l'aide d'un miroir. Tandis qu'il retape la maison, entrent en scène une jeune fille un peu demeurée, Helena la Pucelle Miraculeuse, un berger philosophe qui lui dit que « gagner son pain est un don de Dieu », un automobiliste en panne qui dit s'appeler Jean-Jacques Rousseau, lui parle de la « vraie vie » et lui emprunte sa belle décapotable rouge en échange de sa Deux Chevaux déglinguée. Apparaît Tereza, qui dit ne plus pouvoir supporter leur séparation mais qu'il renvoie en ville, puis son père, à qui il annonce qu'il abandonne sa carrière de professeur. Il cohabite avec Helena en croquant des pommes, « les fruits du paradis ». Tereza revient avec son mari jaloux mais qui fait confiance à Jakub quand celui-ci lui affirme qu'ils n'ont pas couché ensemble. Arrive à son tour le « sage Wittgenstein » qui lui demande un arbre en échange d'un livre. Jakub redonne vie à la Pucelle tombée en léthargie et qui le change symboliquement en arbre puis entre en lévitation devant lui et son père apparemment séduit à son tour par cette vie champêtre. Conclusion : « Tout est bien qui finit bien ».
Copyright Bibliothèque du film, 1996
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Exploitation

Nombre total d'entrées en fin d'exclusivité (Paris)4011
Nombre de salles de sortie (Paris)1
Nombre de semaines d'exclusivité (Paris)5
Nombre d'entrée première semaine (Paris)1120
Nombre total d'entrée en fin d'exclusivité (France)4011