Générique technique

Réalisateur	Jacqueline Audry
Assistant réalisateur	Jacques Poitrenaud
Auteur de l'oeuvre originale	Colette	d'après le roman "Mitsou ou Comment l'esprit vient aux filles"
Adaptateur	Pierre Laroche
Dialoguiste	Pierre Laroche
Société de production	Ardennes Films
Société de production	Général Productions (Paris)
Producteur	René Lafuite
Producteur	Michel Kagansky
Directeur de production	Jean Kerchner
Distributeur d'origine	Rank Overseas Film Distributors
Directeur de la photographie	Marcel Grignon
Cadreur	Raymond Lemoigne
Ingénieur du son	Julien Coutellier
Compositeur de la musique originale	Georges Van Parys
Décorateur	Claude Bouxin
Costumier	Mireille Leydet
Maquilleur	Jean Ulysse
Coiffeur	Marc Blanchard
Monteur	Yvonne Martin
Script	Jeanne Witta
Script	Lucie Lichtig
Régisseur	Michel Choquet
Photographe de plateau	Marcel Combes

générique artistique

Danièle Delorme	(Mitsou)
Fernand Gravey	(Pierre Duroy-Lelong)
François Guérin	(Robert, le lieutenant Bleu)
Gaby Morlay	(Madame Clairault)
Gabrielle Dorziat	(la baronne)
Thérèse Dorny	(Madame Papier)
Jacques Dumesnil	(Eugène)
Claude Rich	(le lieutenant Kaki)
Pierre Palau	(Beauty)
Denise Grey	(Estelle)
Jacques Duby	(Raphaël)
Odette Laure	(Petite-Chose)
Jacques Fabbri	(le vaguemestre)
Maryse Martin	(la concierge)
Harry-Max	(Touzou, le concierge du music-hall)
Max Elloy	(le maître d'hôtel chez Larue)
Jacques Morlaine	(un militaire)
Germaine Delbat	(l'infirmière)
Serge Lecointe	(le serveur)
Maurice Sarfati	(le télégraphiste)
Renée Gardès	(la vieille habilleuse)
Anouk Ferjac	(une girl)
Dominique Boschero	(une girl)
Paulette Andrieux	(une girl)
Anne Colette	(une girl)
Charles Lemontier	(un associé de Duroy-Lelong)
Charles Bayard	(un associé de Duroy-Lelong)
Jean-Marie Robain
Louis Viret
Marie Versini
Jean Valmence
Tania Soucault
Colette Fleury
Gaston Garchery
Yvonne Hébert
Ariane Lancell
René Lefèvre-Bel
Betty Beckers
Léon Larive
Marion Laurent
Jo Peignot
René Hell
Robert Le Béal
Maryse Maïa

Bibliographie

Périodiques

• Ciné Révélation, n° 133, 1956
• Ciné Revue, n° 36, 7 septembre 1956
• Ciné Revue, n° 50, 14 décembre 1956
• Cinéma 57, n° 15, février 1957
• Cinématographie Française (La), n° 1693, 17 novembre 1956
• Cinémonde, n° 1149, 16 août 1956
• Cinémonde, n° 1152, 6 septembre 1956
• Cinémonde, n° 1165, 6 décembre 1956
• Cinémonde, n° 1166, 13 décembre 1956
• Cinémonde, n° 1169, 3 janvier 1957
• Cinémonde, n° 1170, 10 janvier 1957
• Daily Film Renter, n° 7443, 14 août 1957
• Ecrans de France, n° 168, février 1957
• Film Complet (Le), n° 610, 28 mars 1957
• Film Daily (The), vol. 113, n° 76, 18 avril 1958
• Film Français (Le), n° 647, 2 novembre 1956
• Film Français (Le), n° 649, 16 novembre 1956
• Mon Film, n° 557, 24 avril 1957
• Monthly Film Bulletin, vol. 24, n° 276, janvier 1957
• Revue du Cinéma (La) / Image et Son, n° 101, avril 1957
• Sight and Sound, vol. 27, n° 2, automne 1957
• Technicien du Film (Le), n° 20, 15 septembre 1956
• Today's Cinema, vol. 89, n° 7838, 14 août 1957
• Variety, 13 février 1957

Synopsis

En pleine guerre 1914-1918, Mitsou est la vedette du spectacle « patriotique » de l'Empyrée-Montmartre, grâce à son protecteur, l'industriel Duroy-Lelong. Celui-ci est pour la jeune femme plus une habitude et un soutien matériel qu'un amant. Au cours d'une représentation, elle est amenée à cacher dans sa loge deux officiers, admirateurs de sa camarade, Petite Chose. Et l'un d'eux, Robert, éveille son coeur sans qu'elle s'en rende compte d'abord, et pique la jalousie de Duroy-Lelong à qui Mitsou se confie, comme à un père, avec une simplicité désarmante. Robert et Mitsou correspondent un temps, puis un jour de permission, Robert arrive dans l'appartement installé pour Mitsou et décoré avec un goût discutable par cette cervelle d'oiseau sans éducation. Robert s'enfuit en songeant à la différence d'éducation qui rend son amour impossible pour un fils de famille. Mitsou s'en rend compte et avec l'appui de Duroy-Lelong, résigné et paternel, entreprend avec une candide bonne volonté de devenir une femme du monde : elle change son mobilier, elle apprend le style et l'équitation. Mais Robert ne se manifeste plus. Un jour pourtant une lettre d'amour du jeune homme lui arrive : il a été blessé grièvement et c'est un camarade qui a envoyé cette lettre. La jeune femme part sans hésiter rejoindre Robert. Dans son délire, il l'a réclamée, et lorsqu'elle arrive, les parents de Robert s'efïacent devant elle à la porte du blessé.
© Les fiches du cinéma 2001