Les Petits matins = Mademoiselle stop (1961) Jacqueline Audry

Pays de productionFrance
Sortie en France16 mars 1962
Procédé image35 mm - NB
Durée90 mn
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Générique technique

RéalisateurJacqueline Audry
ScénaristeStella Kersová
AdaptateurPierre Pelegri
AdaptateurPierre Laroche
DialoguistePierre Pelegri
DialoguistePierre Laroche
Société de production Paris Elysées Films
Société de production Les Films Metzger et Woog
Directeur de productionEugène Tucherer
Directeur de la photographieRobert Lefebvre
Ingénieur du sonJacques Gallois
Compositeur de la musique originaleGeorges Van Parys
Auteur des chansons originalesCharles Aznavour
DécorateurFrédéric de Pasquale
MonteurSuzanne de Troeye
Photographe de plateauJean-Louis Castelli

générique artistique

Agathe Aëms(Agathe)
Arletty(Gabrielle)
Gilbert Bécaud(le pilote d'Air-France)
Francis Blanche(le douanier)
Bernard Blier(le provincial)
Pierre Brasseur(Achille Pipermint)
Jean-Claude Brialy(le représentant)
Darry Cowl(le journaliste-dragueur)
Daniel Gélin(le comédien)
Fernand Gravey(l'homme à la Cadillac)
Robert Hossein(le fou)
Michel Le Royer(le tennisman)
Pierre Mondy(le manager du boxeur)
Noël-Noël(le Baron)
Andréa Parisy(une autostoppeuse)
François Périer(le quadragénaire)
Claude Rich(l'homme de trente ans)
Lino Ventura(le chauffeur de car)
Roger Coggio(le boxeur)
Véra Valmont(la barmaid)
Huguette Duflos(la mère d'Edouard)
Christian Pezey(le vacancier)
André Badin(le satyre)
Joe Davray
Yves Gabrielli

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

La jeune Agathe, filie de douaniers belges, a gagné aux épreuves d'un concours de sténographie un séjour de quinze jours sur la Côte d'Azur. Décidée, nantie pour tout bagage de son solide aplomb, elle part, pratiquant l'auto-stop. L'arrivée à Paris est mouvementée. Des boxeurs de bonne volonté l'ont convoyée jusqu'au Palais des Sports ; ils la laissent repartir avec un quadragénaire empressé qui lui offre un dîner fin chez Maxim's. Pour échapper aux conséquences de ce dîner, Agathe s'invente une tante, qui habite soit-disant avenue Victor-Hugo ; elle en sera quitte pour passer la nuit sur la banquette du palier d'un sixième étage. Au petit matin, elle partira jusqu'à Orly avec l'un des locataires, un pilote de ligne, qui doit s'envoler pour Nice ; mais elle n'ose pas accepter le prix du billet. Un vieux beau, devant qui elle accumule les mensonges, l'abandonne et Agathe n'a plus que la ressource de faire, à nouveau, de l'auto-stop. Après avoir rencontré un charmant vieux gentilhomme, elle tombe sur un sadique richissime qui l'emmené dîner aux chandelles dans un château perdu, mais tente de l'étrangler. Agathe réussit à s'échapper, et dort à la belle étoile. Au petit matin, elle sera recueillie par des braves bergers et elle reprendra son voyage le coeur léger. Plusieurs voitures lui feront franchir les étapes successives qui la conduiront à Cassis, mais là, elle rencontre un solide jeune garçon, Jean-Claude, dont le père est fabricant de brosses en tous genres et passe la nuit avec lui. Lors de ce dernier petit matin, le sort d'Agathe est fixé. Le papa confie la prospection de la région du Nord à son fils. Adieu le soleil de Cassis, les rêves sur la plage ensoleillée ! Agathe et Jean-Claude se marieront et trouveront dans le nord si froid ce soleil qu'on ne peut voir qu'à deux.
© Les fiches du cinéma 2001
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Tournage

Lieux de tournage