Préméditation ? (1959) André Berthomieu

Pays de productionFrance
Sortie en France08 avril 1960
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Générique technique

RéalisateurAndré Berthomieu
Assistant réalisateurGeorges Casati
Auteur de l'oeuvre originaleFrédéric Dardd'après le roman "Toi qui vivais"
AdaptateurAndré Berthomieu
DialoguisteFrédéric Dard
DialoguisteAndré Berthomieu
Société de production Bertho-Films (Chantilly)
Société de production Filmel (Paris)
Directeur de productionEugène Lépicier
Directeur de la photographiePierre Petit
Ingénieur du sonRaymond Gauguier
Compositeur de la musique originaleGeorges Van Parys
DécorateurRaymond Nègre
MaquilleurLina Gallet
MonteurDenise Natot
RégisseurMichel Bonnay
Photographe de plateauGaston Thonnart

générique artistique

Jean-Claude Pascal(Bernard Sommet)
Pascale Roberts(Maître Sylvie Foucot)
Jean Desailly(Le juge Lenoir)
Jacqueline Porel(Mme Lenoir)
Jacques Dufilho(Martinot)
Charles Bouillaud(le gardien)
Caroline Saint(Marie-Claire)
Denise Vernac(Mme Foucot)
Robert Le Béal(l'inspecteur)
Van Duong(Li)
Marcel Loche
Georges Hubert
Henri Coutet
Jacques Ary

Bibliographie

Synopsis

Une jeune avocate complexée, Sylvie Foucot, tombe par surcroît amoureuse de son jeune et beau client, Bernard, accusé d'avoir assassiné sa femme qu'il venait de surprendre entre les bras de son meilleur ami : crime passionnel, et la jeune avocate pense bien sauver son bonheur, en même temps que la tête de son client, à vrai dire pas très menacée. Le juge d'instruction, de par son métier et le sexe auquel i1 appartient, envisage l'affaire de façon plus objective, et il découvre peu à peu la duplicité du sympathique jeune homme, lequel a bien assassiné sa femme, mais après avoir longuement organisé l'affaire dans tous ses détails. Un seul a cloché, bien sûr, et c'est ainsi que la préméditation est découverte. Sylvie cependant est prête à tout pour sauver son amour, y compris à racheter de ses deniers des lettres - fausses, elle le saura après - que la femme assassinée aurait écrites à son amant et dans lesquelles le mari est moqué. Au sursaut de Bernard, à son soulagement lorsqu'il apprend que les lettres étaient fabriquées, Sylvie voit bien que la femme morte est la seule qui ait jamais été aimée. Elle plaide avec toute la force du désespoir, mais le coupable, pour la première fois s'accuse, détruisant ainsi tout l'effet de la plaidoirie, et le jury, vertueux et indigné, rend à l'unanimité son verdict - qui est la peine de mort.
© Les fiches du cinéma 2001
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