Synopsis
L'indomptable Angélique, après de brèves retrouvailles avec son blen-aimé mari, le Pescador, comte de Peyrac, est enlevée par des trafiquants de femmes et emmenée à Alger. Elle est captive de Mezzo Morte, l'homme qui fournit au Sultan « les plus belles femmes de la terre ». Quelque part en mer, sur une petite barque solitaire, gît un navigateur assoiffé et épuisé. Nous reconnaissons Peyrac, à la recherche de sa chère Angélique. Sauvé par une galère, enchaîné à des esclaves, Peyrac est conduit à Alger à la prison de la citadelle. Avec la complicité du geôlier qu'il a pu soudoyer, Peyrac saute le mur, frappe à la première porte venue... celle de l'Ambassadeur de Turquie, son ami de toujours, qui va l'aider à gagner la capitale du Sultan, Miquenez, où Angélique a été conduite pour devenir la favorite du Sultan. Après une journée de fête au cours de laquelle le Sultan a sauvé un chrétien de la mort pour gagner les faveurs d'Angélique, cette dernière doit affronter les ardeurs de son nouveau maître. Le Sultan tente de violenter Angélique qui le repousse avec vigueur. Offensé, le Sultan condamne la rebelle à être suppliciée dans l'arène, fouettée à mort, attachée à un poteau, les bras en croix. Or, Peyrac a tendu un piège au Sultan, et lui promet la révélation d'un secret : faire de l'or avec de la tourbe, contre la libération d'Angélique. Le Sultan accepte le marché et promet de lui rendre Angélique. Mais celle-ci a été libérée par deux gentilshommes français qui ont pénétré dans le harem, Vateville et Colin Paturel. Angélique vogue maintenant sur le bateau où l'a rejointe Peyrac. Toutes voiles gonflées, le navire s'éloigne à l'horizon vers l'île des Langoustiers, berçant le couple heureux. Angélique est radieuse. Elle a retrouvé le seul homme qu'elle ait jamais aimé et auquel elle demeure éperdument fidèle. Mais combien de temps seront-ils réunis ?
© Les fiches du cinéma 2001